Plume d'argent Inscrit le: 23/7/2011 De: Envois: 230 |
La hyène et l’abeille (à madame Costecéque et madame Matshushita) Dans les temps anciens,au royaume de animaux , Vivait une hyène gourmande pleine d’égocentrisme et de défauts, Elle avait une emprise totale sur tous les animaux, Qui la redoutait , Comme si elle représentait le bourreau et son échafaud…
Un jour,elle s’assit malencontreusement sur un essaim d’abeilles,, Si bien que pris de panique,se sentant en danger,celles-ci se rebellent, C’est ainsi que la hyène fut piquée par l’une d’entre elles,… Celle-ci en colère se mit à pousser des cris de guerre, pour châtier la coupable qu’elle avait vu faire…
« - Pourquoi m’as-tu piquer insolente!Aurais -tu envie que je vous creuse à toutes vôtre cimetières? » -Excusez nous sire,nous avons eu peur,pardonnez-nous ,Nous ne sommes DES âmes guerrière -Je ne suis d’aucune pitié vous allez goûter aux flammes de l’enfer… -Sir,je te propose de te servir tout au long de ta vie,d’être ton esclave?
-oui ,pourquoi pas ,répondit la bête ,pleine bave, En voyant devant elle cet or luisant et Coulant de l’essaim des abeilles comme de la lave….. -Pourrais tu me fabriquer et me nourrir de ton miel? Oui,répondit sagement l’abeille….
Comme vous le verrez dans cette histoire rien ne triomphe de la lâcheté , Excepte la ruse et le courage,
L’abeille mit du cœur à l’ouvrage si bien qu’elle conçut un impressionnant breuvage, Pour satisfaire l’animal plein de rage.
« -je fabriquerais toute votre cire lui dit l’abeille. ayez confiance en moi,mon sir… »
Tandis que l’abeille mis à l’ouvrage toute son industrie, la hyène en profita pour dérober toute sa trésorerie, L’abeille se rendit compte de la fourberie , Et que la hyène s’était emparée de tous l’or du ciel…
« -mais qui a volé tout son miel?s’interrogea -t-elle .qui a part cette hyène aurait abusé de moi? »
L’abeille se rendit compte que la hyène avait été trop loin cette fois,qu’il fallait sévir cette hors la loi, Et se laisser guider par sa fois si bien qu’elle décida de se venger sur un animal dont le principal défaut et de manger!!
Pour une simple piqûre ,un tel préjudice par un animal cupide,voleur plein de caprices.
Cette fois-ci ,bien décider a se faire justice, Elle fabriqua un miel d’un tel délice, Aussi collant et brillant que de la sève, Pour combattre celle qui ne connaissait pas de frontières a ses rêves.. Certaine que la hyène ne résisterait pas à se laisser guider par ses papilles, L’abeille se laissa guider par sa vengeance et laissa forger son esprit , D’idées makiaveliques et subtiles, Pour clouer le bec à une hyène qui profitait de la servitude des pauvres , Et qui en même temps les pille…
L’abeille arrive donc devant la hyène en faisant l’innocente, tout en se souciant de l’idée de vengeance et de peur,qui la hante Elle dit à cette bête sanguinaire et méchante!! « Voudriez-vous goûter mon miel??il est plus sucré ,plus appétissant , Je l’ai fabriqué pour vous toute la veille!!! »
La hyène ne vit pas qu’elle avait devant elle un esprit vengeur assassin, À qui elle avait volé toute la cire et détruit son essaim Elle engloutit donc tout le miel,et il n’en resta plus rien…
La hyène eût la bouche collée, Si bien qu’elle ne pouvait plus rien avaler, Elle alla trouver l’abeille pour lui demander son aide, Tout en lui implorant de signer l’armistice. Celle-ci;lui répondit qu’elle ne tolérait pas la traîtrise, Qu’elle devait connaître la connaissance de ses actes barbares et caprices, Qu’il n’y a pas plus répugnant que le pêche de al gourmandise!!
Et Que si la vengeance est un plat qui se mange froid, Sans faire appelle à toute son armée d’abeille sa milice, Celle-ci lui répondit avec effroi, elle lui ferait « goûter son préjudice » Car elle devait laisser faire justice..
Les jours passèrent ,et le fait de ne pas pouvoir s’alimenter , La hyène mourut.
Certains rêvent de vastes royaume, alors ils rêvent d’avoir le monde entier dans leur paume, De l’avoir tellement grand que dés fois ils s’y paument, Car l’odeur de l’argent les embaume, A vouloir voler les pauvres, Quoi ont la charité de donner le moindre argent ^pour de juste causes, On finit par se rendre les portes du paradis closes…
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