Oh ! pourquoi caches-tu ces joues abîmées
Que le sang de la mélancolie a noirci ?
Sache que la raison qui te tient à penser
Elle-même ne distingue l’amour de la folie !

Ces rêves flottants sur la plage de ton cœur
Mène tes pensées voir l’océan des problèmes
Puisque on vit, on sent, on rit et on pleure
Si amèrement et selon l’accent du blasphème !

La plainte un sourire qui soulage le moral
Et l’éloigne de la fontaine des obsessions
Elle dessine la vie sous forme d’une étoile
Et maudit les convois sordides de la trahison !

Smail baydada

Ravi de te relire, après cette absence!
Bon et joyeux ramadan, mon cher!

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Ma vie n'est plus une barque dans une mer enragée
Et je ne suis plus le naufragé!
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Mostafa, point fat, seul, las, si doux, rêvant de sa mie!!!

salut ami poète marocain Smail
Une onzième contemplation que je lis avec joie!
Je t'en remercie et te souhaite un très bon mois de ramadan
amitiés
farid

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"Je n'existe que dans la mesure où j'existe pour autrui"
Manet




Mon blog : http://amedyazamazigh.blog2b.net

Très joli texte descriptif
bravo

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Marie

Bonjour Verfassis, un bien joli poème que j'ai lu avec grand plaisir.
Mon amitié.

Capricorne

Des vers qui percutent avec force ! Bel écrit !!!!!

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Jamais je ne perdrai cet émerveillement du langage
Jamais je ne m'éveillerai d'entre les mots - Louis Aragon -

Ne te retourne pas, regarde toujours devant toi, c'est là qu'est la vie ! (ma devise)