Dans ma vie, j’aurai voulu être un dépravé,
Or je n’ai fait que fouler ces milles pavés,
Avec les années et toujours autant à braver,
On me la dit et sans me douter je le savais,
Mes intentions n’ont fait que me gaver,
Ce poids, un mauvais film égaré, un navet,
C’est ma vie est ceci de droit jusqu’au chevet,
Les couleurs ne sont pas des habits que je revêts,
Ni les grandes aventures des soirs à en crever,
Aujourd’hui prisonnier, mes choix m’ont enlevés,
En otage, assis et attaché, je ne peux me lever,
Combien d’année dois-je avant de me relever ?
La pire des prisons, mes principes m’ont achevé,
J’ignore quand on me sortira de mon enfer privé,
J’aimerai que soit servi une dernière fois le civet,
Que ses lois se détachent à l’usure de ses rivets,
Ils me retiennent tant, alors qu’avant je vivais,
Libre de mes actes devant la vie et si motivé,
Mais le monde sait qu’un cœur souffre à l’arrivée…

Le Crieur…

bravo lecrieur, as t-on le choix de ce qu'on est, cela me fait penser à jacques brel "être beau, beau , et con à la fois" , je pense qu'il faut s'accepter avec ses défauts mais aussi ses qualités,

amitiés


yann

Bonjour Yann....

Merci pour votre commentaire.....et oui tout accepter de notre vie c'est être fidèle à soi même....

Amitié du Crieur.....

vivre sa vie en étant soi même , vivre ses propres choix , n'avoir aucun regret c'est déjà ca