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     Nuits de juillet
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Expéditeur Conversation
New_Born
Envoyé le :  16/7/2012 1:05
Plume d'or
Inscrit le: 21/8/2009
De: 17 DĂ©cembre, dans ma spirale
Envois: 807
Nuits de juillet
Nuits de juillet




Vois les Ă©toiles qui veulent escorter la lune
Quand nous, les muses, inspirons ta plume ;
Quand toi poète, tu voles au vent ses rimes
Et sur ta page périssent tes secrets abimes !
Au bout de la nuit, s’évaporent tes peines
S’effacent les mauvaises souvenances
Pour que tu puisses nous Ă©crire des romances
Et que finalement ton mal-être s’achève
Regardes la lune, il t’invite à créer des chimères
Et interpréter son langage de lumières !



Mon ciel luit que lorsque résonne ma larme.
Au bout des promesses, j’ai atteint le néant
Et j’ai hurlé mon désespoir qui me désarme
Voici que la noirceur ensevelit mon espoir
D’un chagrin qui se révèle comme un géant
Il détruit mon rêve et l’enfonce dans le noir.
Alors …
Arrêtes Muse de me mentir ! J’ai beau rêver
Et rien ne s’accomplit. Je ne fais que hanter
Mes nuits d’espoirs futiles qui m’assassinent.
Aujourd’hui, mon cœur est lourd d’amertume
Ma rive est loin ! Elle est entourée de brumes !




Patience, cœur de rimes, laisses au destin
Le temps de te soigner et guérir ton encre
Un jour, tu trouveras sérénité, c’est certain.
Et ton mal-ĂŞtre, un jour tu sauras le vaincre.
Oublie tes souffrances et entends nos lyres
Qui te jouent leur aubade, je suis persuadée
Que tu aimeras. Bannis tes peines et délires
Ils n’ont fait qu’enlaidir et noircir tes mélopées !



Comment un mort-vivant pourrait-il respirer
Les fragrances qui se promènent au gré du vent ?
Comment vas-tu guérir un cœur bohémien et prisonnier
Qui n’a d’abri que la peine qui l’a inspiré et les tourments ?
Je suis à bout de souffle et j’ai honte de mes déboires,
Mes échecs et mes blessures même si je rêve encore d’espoir.
Je n’avais pour refuge que ton sein
Et je m’abritais à l’ombre de ton dessin ;
Tu sais depuis que le ciel s’est purifié
Et de sa clarté, mon regard a brillé !
Les fleurs sont réapparues plus belles qu’avant
Plus rayonnantes et plus souriantes qu’un enfant
Je me suis fait un serment … oui, un serment
De ne plus verser de larme, plus maintenant !
Mais à trop vouloir feuilleter le cœur du printemps
Ă€ trop vouloir traverser le chemin de tes illusions
J’ai perdu la notion du temps
Je n’avais pas remarqué qu’entre vouloir et faire
Je me suis égaré dans les couloirs du néant
Et que ma vie s’est transformée en océan
De tempêtes et d’ouragans

Pourtant, je résiste et dans ma vie je persiste
À rêver d’espoir et déchiffrer les lumières, à rester optimiste.
Je t’ai aimée comme un fou qui aimerait épouser une étoile,
Surmonter les grands défis pour libérer sa belle princesse
Au beau milieu des flammes, même prisonnière des dragons
Je me battrais contre les sorcières pour te sauver des envoutements.
Je défierais le diable pour te rendre heureuse, ma souveraine maîtresse.
Mais, tu sais, après réflexion, ne crois plus à aucun de mes mots.
Je ne suis qu’un piètre menteur et je ne suis qu’un pauvre voyageur
Qui transporte dans sa valise un cœur ruiné et enveloppé de maux
Et qui cherche désespérément son propre îlot,
Où il pourra enfin se débarrasser de son lourd bagage et ses démons !
Alors, laisse mon cœur nomade errer dans la peur
Et le désespoir, dans les abysses de la douleur
Et l’hécatombe de mes joies et mes beaux sentiments
Car quand je vois que sur la joue d’un enfant luit une larme
Crois-moi, je perds tous mes mots ; sa tristesse me désarme.
Oublie mon cœur, cet fol errant, ce naufragé !
Pour moi, rien ne va plus. L’espoir est devenu calamité,
Le rêve est désormais chagrin, dur à supporter
Et la douleur est dans mon livre une fatalité !

New_Born
14-07-2012

Je suis désolée pour la langueur de mon texte qui n'est pas vraiment un, puisque c'est un brouillon qui a besoin d'être affiné
mais j'aimerai bien le partager avec vous tel quel sans retouches jusqu'Ă  nouvel ordre
merci pour vos lectures


----------------

Honore
Envoyé le :  16/7/2012 9:54
Modérateur
Inscrit le: 16/10/2006
De: Perpignan
Envois: 39531
Re: Nuits de juillet
ton cœur avait besoins de s’épancher et tu as bien fait de laisser se dérouler ta pensée comme un fleuve bienfaisant.
HONORE
anonyme
Envoyé le :  16/7/2012 15:33
Re: Nuits de juillet
pour un brouillon je dis
ISABELLE59
Envoyé le :  16/7/2012 22:44
Mascotte d'Oasis
Inscrit le: 14/12/2011
De: DUNKERQUE
Envois: 20550
Re: Nuits de juillet
Un brouillon peut-ĂŞtre....
mais tellement de choses dites... et si bien dites...



sacro
Envoyé le :  17/7/2012 15:09
Plume d'or
Inscrit le: 12/12/2009
De: Casablanca
Envois: 1798
Re: Nuits de juillet
Car quand je vois que sur la joue d’un enfant luit une larme
Crois-moi, je perds tous mes mots ; sa tristesse me désarme.
Oublie mon cœur, cet fol errant, ce naufragé !
Pour moi, rien ne va plus. L’espoir est devenu calamité,
Le rêve est désormais chagrin, dur à supporter
Et la douleur est dans mon livre une fatalité !

Sublime ! Un grand talent.


----------------

New_Born
Envoyé le :  20/7/2012 18:25
Plume d'or
Inscrit le: 21/8/2009
De: 17 DĂ©cembre, dans ma spirale
Envois: 807
Re: Nuits de juillet
Merci à vous tous braves âmes aux coeurs poètes

et comme le dit Victor Hugo à un poète
Sois petit comme source et sois grand comme fleuve.

Mes respects et amitiés


----------------

cyrael
Envoyé le :  14/8/2012 21:05
Mascotte d'Oasis
Inscrit le: 30/10/2005
De: ****
Envois: 83558
Re: Nuits de juillet


j'ai lu vos nuits de JUILLET

émouvant poème

Alors, laisse mon cœur nomade errer dans la peur
Et le désespoir, dans les abysses de la douleur
Et l’hécatombe de mes joies et mes beaux sentiments
Car quand je vois que sur la joue d’un enfant luit une larme
Crois-moi, je perds tous mes mots ; sa tristesse me désarme.
Oublie mon cœur, cet fol errant, ce naufragé !
Pour moi, rien ne va plus. L’espoir est devenu calamité,


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l'Amour rayonne quand l'Ame s'élève, citation maryjo

gentilprince
Envoyé le :  30/1/2013 5:23
Plume de platine
Inscrit le: 23/10/2012
De: Bassou - YONNE
Envois: 5158
Re: Nuits de juillet
Bonjour New born

C'est ce que j'allais te mettre en commentaire:

Le début est construit
la fin est mal terminée.

A la lecture je me suis posé une question:
c'est un homme ou une femme qui parle?

Je parle de la forme bien sûr

Pour le fond

toujours a fleur de peau
cela t'améne de belles lignes

malheureusement

A bientĂ´t

Thierry

jessye
Envoyé le :  17/2/2013 21:26
Mascotte d'Oasis
Inscrit le: 17/12/2006
De: dans mon château de brumes ...
Envois: 20093
Re: Nuits de juillet
tu n'as rien a corriger ... je sens ... je sais ... tiens ma douce ... pour toi


----------------
C'est beau d'ĂŞtre seul(e).
ĂŠtre seul(e)ne signifie pas ĂŞtre solitaire.
Cela signifie que l'esprit ne vit pas sous influence et qu'il n'est pas pollué
par la société.
[Jiddu Krishnamurti]

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