Aimer, un point c’est toi

Des dryades courant à travers bois
Escadrons de nos amours
Au loin une tour en ivoire
S’il a menti il finira dans les flammes

Levez vos armées, vos épées de bois
Levez vos yeux pour elle, et même le jour
Ne pourrait mourir pour la nuit, juste un soir
Renaître du Phoenix, belle dame.

La curiosité de l’avenir
Des neiges en névés
Un bel amour pour seul déplaisir
Fasse durer tout une nuit

Atteindre et gémir
L’Etna ou le Vésuve pour l’été
Du jour pour jouir
Pour toute la vie.

Qui dansera sur le lac
Lancelot où es-tu ?
Camelot est si loin
Et nous avons perdu le Saint-Graal.

Pour continuer, prenons le bac
Traversons, la chair mise à nu
Camelot n’est pas si loin
Ayons confiance en notre mal.

L’aveugle voit à travers ses mains
Sur les rives herbeuses
Un ami si familier des lendemains
Qui te rendent si heureuse.

Je t’aime à l’orée du bois
Je t’aime au bord du lac
Je t’aime sous ce toit
Je t’aime, même quand j’ai mal.

Je t’aime
Je t’aime
Quand la saison s’éteindra
Et même si, et même si je suis las

Je t’aime.

une bien belle déclaration, merci ami poète

Original, superbe !

Merci Boreal et Juliette04 de vos commentaires.

Me revoilà vous m'avez manqué, après un crash d'ordinateur, je me suis rappelé d'Oasis, j'ai mis du temps, mais la mémoire m'est apparu un peu comme par miracle.

Tout simplement aujourd'hui en faisant des recherches sur le net sur mon nom d'auteur, j'ai fini par vous retrouver...