Avec cette douleur martelant ma poitrine,
A chaque seconde de larmes qui dégoulinent,
Le regard vide de l’autre, attendant de se remplir,
Espérant les bras serrés pour encore s’y assoupir,

Aimer seul dans la chambre de son cœur,
Et voir l’autre se refuser ce bonheur,
Ne faire que tendre la perche pour la hisser,
Toujours déçu de l’entêtement qui la rapetisse,

Tes jours sont gris malgré le soleil de mes amis,
Je me revois en Novembre 2010 à minuit,
Elle, se niant l’évidence simple de m’aimer,
Préférant partir et me condamnant à jamais,

Triste vie seul à la charge de ce feu,
Foudroyé et laissé pour compte sans vœu,
Ne plus dormir les soirs et pleurer les journées,
N’avoir que cette vie et cet amour détourné,

Sans certitude que cela aboutisse,
N’avoir aucun indice,
Sans jamais savoir le moment propice,
Le cœur dans le précipice,
Sans voir la fin de ce supplice,
Il faut que le temps agisse,
Pour que le mal finisse…

Le Crieur…

dur l'amour a sens unique

Bonsoir Le Crieur,

L'amour encore l'amour, pas toujours simples les sentiments !!!!!!!!

Beau texte

Franie

oui ...
il faut que le temps agisse
pour que le mal finisse ...

Magnifiquement beau

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L'amour toujours l'amour...
Des mots auront coulés sur les pages pour en décrire les contours...les détours...les retours...et les parcours...
L'amour...toujours et toujours...

Merci...amitié du Crieur...