L’étoc de la vie était limpide
Son corps de tâches était vide
Comme la peau d’un nouveau-né

Posé sur un récif coriace
Ses pierres étaient tenaces
Et formaient un corps solide
Telle une jeunesse en consistance

Il perd sa propre figure
Et sa solidité d’airain .
Fêlure après fêlure,
Il devient frileux et racorni
Comme la vieillesse en déclin

Sur le lit de la paresse
Et la vague de l’imprévoyance
L'étoc de la vie a perdu ses primes nuances

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Que de sages propos harmonieusement mis en valeur!
Merci
Amitiés
farid

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"Je n'existe que dans la mesure où j'existe pour autrui"
Manet




Mon blog : http://amedyazamazigh.blog2b.net

Merci a gma ,grand poète amazigh

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Un message plein de sagesse qui nous incite à être plus vigilants

Après chaque fêlure réparer, et relever la tête

Espérons que cela suffise si jamais on oublie ...

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belle sagesse au travers de tes mots