une relation pleine de poésie avec la mer, merci lecrieur pour ces superbes vers,
On dit qu’il y a les vivants, les morts et ceux sur la mer,
Comme une feuille au vent imprenable et imprévisible,
Je surfe le miroir du ciel à la frontière des deux mondes,
Dansant les vagues, je me mĂŞle au ton de cette ronde,
Plus qu’un petit point au loin devenu presqu’invisible,
Sur ce cap mon choix a effacé tout mes repères…