Pensées fleuries,
Cette belle violacée pleine de senteurs,
Que nous offrons par plénitude du cœur
À celle que nous aimons par ses couleurs,
Illustre symbole homographe de douceur.
Comment ne pas avoir cette notion fleurie ?
À faire valoir cette agréable tendresse,
Que concède l’échantillon d’une suave vie,
Pour présenter la base de notre allégresse.
Ces deux quatrains prouvent une face,
Qui se peuvent être un contraire allégorique,
Car si cette fleur, offerte, est fugace,
Son homonyme se peut être perspicace.
Pour recevoir ces formes songées,
Entre cadeaux et franches réalités,
Des brillants doivent réfléchir et passer,
Pour comprendre une fleur et une pensée.
Si nos actes sont volontaires en rapport,
Sont-ils pour autant fleuris comme les pensées,
Que nous désirons et voulons offrir en apport
À celle que nous désirons et voulons persuader ?
Antoine
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Quand la "Tolérance" est de mise, l'intelligence devient
intuition ou sensation sans relativité.
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Antoine
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