L'enfer terreste,je découvre,
Ses portes béantes elle ouvre,
A mes pieds de jouvenceau,
Et sur moi,ses feux,Ã l'assaut.
Ses éternels cris qui,tant percent,
A mon ouïe fragile il verse.
Miauler ne pouvant que faire,
je me résigne à ma voix taire.
Nuits et jours,ici et ailleurs,
Toujours les même cris railleurs.
Mais telle la roche solide,
l'hardiesse en ma poire réside.
Le beau soleil s'assombrit,
Et mon coeurs morose,en débris.
Espérer lueur,oserai-je?
Car n'est cette vie que manège,
Avec stidents tels ceux d'enfants
Des cris en blasphème,étouffants.
Ainsi,les feux éteints nous prions,
Mieux c'est,qu'ensemble nous crions
LA PLUME NOIRE........