A l’orée d’une certaine ère nouvelle
Le monde devient de plus en plus fou
La vie pourtant devrait être si belle
Et chacun de profiter à moindre coût...


A l’apogée d’un siècle tant ravageur
La terre a subi ce modernisme fou
L’idée d’aller plus loin ne fait pas peur
Et pourtant aujourd’hui un sou est un sou...


A l’image de nos voisins frontaliers
Le quotidien ne fait pas trop sourire
La vie augmente trop vite chaque année
Et certains tentent en vain de bien réussir...


A l’idée aussi un jour de tout laisser tomber
Le problème ne trouve hélas pas de solution
Le plaisir néanmoins ensemble de se retrouver
Et quelques petits soucis deviennent dérision...


A l’aurore d’un jour que l’on veut nouveau
La population demande alors des comptes
La politique qui ne veut nous parler que du beau
Et trop de gens malheureusement alors disjonctent...


A l’instar de ce que les enfants peuvent faire
Les parents sont quelquefois trop vite dépassés
Les efforts pour tenter en vain de les satisfaire
Et tout le monde alors se sent très bouleversé...


A l’approche d’un changement de gouvernement
Le très jeune électeur souhaite une meilleure vie
La possibilité de garder son emploi très longtemps
Et au moins pour cinq ans, il ne sera pas trop puni...


A l’orée d’une ère que l’on rêve sans guerre
Le monde cherche toujours un second souffle
La vie pourtant aurait alors meilleur caractère
Et chacun d’être à l’aise dans ses pantoufles...

une ère où chacun veut tirer la couverture à soi
où chacun accuse l'autre de ses incompétences
où tout peut arriver surtout le pire.

----------------

merci Michel pour ce magnifique poème
oui l'ère ou on rêve sans guerre et plein d'amour

bisous mon adoré !

----------------


Lire, c’est rencontrer du monde, au plus profond de soi.

Bonjour Volvo une analyse qui n'est pas optimiste mais nous laisse encore quelques espoirs.
Mon amitié.

Capricorne

Je t'aime Renée...............