LE TEMPS DES AMOURS
Cette foudre qui mon coeur gagne,
Déviant collines et montagnes
Et qui,aux éphèbes fidèle,
Nait pareille à une étincelle.
Grande aussi vive mais plus douce
Qu'un gigantesque feu de brousse.
Le bel amour quand il nous tient,
La faiblesse aussitôt nous vient.
A nos pieds s'ouvre la savane,
où mille déesses se pavanent.
La rivière elle,coule, coule
Pendant que l'amour lui,nous saoule.
Prenons les cieux un moment,
Glisser au bas des flots charmants.
cherchons la liberté d'aimer,
Car c'est aujourd'hui où jamais!
LA PLUME NOIRE