Au seuil de la nuit
Sous le vieux figuier
Qui titube au rythme des zéphir
Le silence sous la lune dorée
Est un poème qui commence à m’envahir
À la tombé de la nuit
Sous cet arbre millénaire
Qui titube avec les douces bouffée d’air
La caresse des zéphirs
Est un poème fin qui commence à m’endormir
À l’arrivée de la nuit
Sous le vieux figuier
Qui ombrage on existence
La lune entouré des étoiles
Est une splendide toile
Qui m’inspire purement et en abondance
Au seuil de l’aube
Où les gouttes argentines des rosées tombent
Sous cet arbre millénaire
La dissipation des nuages
Est déjà un espoir qui m’envisage
Dans mon endroit solitaire
Argenteuil 18/04/2012
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