Lorsque rien ne va plus
Que l’on a des ennuis
Que l’on se prend la tête
Pour des nons, pour des ouis
Certains font des prières
En s’adressant directement
A Dieu le père
D’autres prierons Allah
Grisna ou bien Civa
En espérant qu’on les écoutera.
Moi je ne prie personne
Il se peut que cela vous étonne
Pour sortir de mes galères
J’ai une méthode d’enfer.
Je fredonne une chanson
Dans ma tête
Qui a un air
Gai et entraînant
Puis je la chante a tue-tête
Alors mon cœur s’emplit de joie
Et l’orage s’éloigne de moi.
Lorsque plus rien ne va
Que l’on pleure des rivières
Et que tout nos combats
Ressemblent à la Bérézina
Quand on en a assez
Des misères des problèmes
Que des solutions y’en a pas
Et que tous nos matins sont blêmes.
Certains restent prostrés
Attendant que la vie se lasse
De leur administrer des corrections
Et alors de guerre lasse
Ils vont le dos courbés
Se disant ça passe ou ça casse.
Moi je ne courbe pas l’échine
Et s’est bien mieux que ce qu’on imagine
Pour en finir avec mes histoires
Et ne plus voir tout en noir.
Je fredonne
Une chanson dans ma tête
Sur un air
Gai et entraînant
Puis je la chante
A tue-tête
Alors mon cœur s’emplit de joie
Et encor une fois
Je reprends le refrain
Et soudain
Je me sens bien.
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On a tous le sang de la même couleur