J'ai passé cent quatre vingt millions d'années
À cracher en mes yeux jours et nuits des hauteurs
Qui ne pouvaient s'en ouvrir sur les grands coeurs
Palpitant sous la chair d'Ève et ses oubliées.

J'ai vidé ces yeux sans vider ceux des almées
Qui froissaient leurs danses loin des belles couleurs
Pendues au néant peignant les grands rangs des fleurs
Qui poussaient sur les flots des rigueurs damnées.

La terre ne buvait que de sa soif après vent.
Mon grand coeur ne palpitait que pour survivre
Entre les courroux des temps assassins souvent,

Et celui qui palpitait plus, comptait moins d'heures
Sous la poitrine de la peur qui rendait ivre
La saison qui vomissait toutes leurs douleurs.



Sofiane khati.
Agrawliw.

Bienvenue à toi dont le texte mérite d'être lu par le plus grand nombre .
HONORE

J'ai beaucoup aimé lire votre écrit!

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"si tu ne vois plus le sens de ta vie, je viendrais, je suis ton amie."

"Fais comme le caméléon en marche: regarde en avant, et en même temps, observe ceux est derrière." Stéphanie Ledoux

bienvenue !

Bienvenue !

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