La mer toujours jeune et Ă©blouissante
La mer toujours la même et pourtant différente
Elle en a vu passer des amours d’été
Des amours toujours qui semblaient
Etre fait pour durer toute l’éternité
Mais elle n’en a jamais parlée
Ne s’est pas permis de juger
Elle s’est contentée de rouler ses vagues
Sur les galets et sur le sable.
La mer toujours jeune et ravissante
La mer toujours la même et pourtant différente
Elle a vu passer aussi des amours interdits
Qui se trouvaient un nid dans ses criques isolées
Et les corps des amants tendrement enlacés
Qui se laissaient bercés par le souffle du vent
Mais elle n’en a jamais parlée
Ne s’est pas permis de juger
Elle s’est contentée de rouler ses vagues
Sur les galets et sur le sable.
La mer maîtresse insatiable ou femme indomptable
A la beauté du diable et ne vieillit jamais
Elle roule dans ses flots des rires, des sanglots
Des espoirs des regrets et des milliers de secrets
Qu’elle ne nous divulguera jamais
La mer me laisse un goût amer
Quand vient le dernier soir
Et que je dois lui dire « AU REVOIR »…………..
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On a tous le sang de la mĂŞme couleur
