DECLARATION D’AMOUR VIRTUELLE
T’en souviens-tu ?
On se disait pas encore tu …
Sur le net, ta photo m’a subjuguée,
En ce beau jour de 14 juillet.
Au détour de ce monde virtuel,
Je t’ai trouvé belle et sensuelle,
Dès que je t’aperçois sur l’écran,
Mon cœur bat à tout vent.
Elle est tellement inaccessible,
Avec ses réactions imprévisibles,
Longtemps, on s’est aimé à distance,
En se foutant des convenances.
Je ne trouve pas les mots,
Pour vous dire qu’elle a tout ce qu’il faut,
Timide devant ses yeux envoutants,
Pourtant femme, avec son regard d’enfant,
Elle m’inspire que de la tendresse,
Avec son corps que je devine sensuel,
Elle méritait qu’avec subtilité,
Langoureusement, je la caresse.
A travers écrans interposés,
A en perdre la raison, nous avons chaté,
Impatientes, on s’est donné rendez-vous,
Au café de la gare St-Lazare,
Ses cheveux voguaient au vent du hasard,
Dans un élan, on s’est embrassé comme deux fous.
Des milliers d’années ne sauraient suffire,
Pour simplement te dire,
Combien j’ai apprécié,
Ce premier baiser tant convoité.
Il avait le goût de l’aventure,
Avec ta voix suave qui me susurre,
Des mots tendres, rien qu’à nous,
Qui résonnent dans ta bouche,
Et quand je suis dans ta couche,
Se fondent en aveux dans mon cou.
Toi mon amour, ma petite fleur,
Tu me fais fondre d’envie,
Mon cœur s’enivre de folie,
Avec ton corps sculpté façon Deville-Chabrolle,
Comme ses statues dans les galeries d’Honfleur,
Avec leurs formes et leurs rondeurs,
Comme les tiennes, ma beauté sublime, mon idole.
Tu as le corps parfait que je n’ai pas,
Je n’ai que mes grands yeux bleus,
Pour te séduire à mon grand désarroi,
Si j’étais un sculpteur fabuleux,
De toi, je ferais un superbe nu,
Avec ta bouche rieuse et tes mains menues,
Avec ton allure cambrée,
Tes fesses bien galbées,
Toutes rondes comme des moitiés de pommes,
Que je croquerais bien Ă pleines dents,
Que le Bon Dieu me le pardonne !
Mon désir pour toi est si grand…
J’aime tellement ma meuf,
Quand elle joue femme libérée,
C’est comme cela qu’elle me bluffe,
Que serais-je sans toi ?
Qui s’endors près de moi,
Sentir ton souffle si doux,
Au creux de mon cou,
Lorsque je m’éveille au petit matin,
Me fait craquer avec ses yeux coquins,
Quand langoureux, ils se plongent dans les miens.
Avec toi, la vie a du mordant,
Ma passion est de tous les instants,
Tu seras l’hirondelle de tous mes printemps,
Notre amour ne ressemble Ă celui de personne,
Notre histoire est souvent montré du doigt,
Mais qu’importe, puisque j’ai foi en toi.
Je t’aime et je t’aimerais toujours,
Si tu veux bien me garder près de toi, mon amour !
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