Révolution du peuple de la solitude,
qui a faim d'amour ,c'est une certitude,
Ton Béret rouge déchire,
Roi soleil guillotine,sans savoir ou cette histoire irait,
Sa tendresse est un bourreau qui me torture,
sous la prise de ta bastille,il passe c'est sur,
la tête de notre passé à la guillotine de notre aventure,
tu t'es enfouie avec lui,comme Marie Antoinette sous le carrosse du futur,
avec le cochet ,de votre amour aux manettes de cette diligence,
traversant avec magnificence,sans trop d'intelligence,
les chemins boueux cabossés,de cette forêt noire ensorcelée,
encore hanté,sous l'hégémonie des spectre de notre passé si lait

Reddition des troupes royale,
Sous les revendications de ces Parisien déloyales,
Sous les lancer de cocktail Molotov des torches,
Il font carbonisés, ont transpercer mon cœur au tourne- broche.

Sous ce Paris idiot,enflammé embrasé
Roulant sur le macadam ,le gravier de tes papilles,
Prenant d’assaut la Bastille,
Dans le ciel des tes yeux ;la lune de tes pupilles,
ricochent des balles de fusils,
À mon égard,
Devant cette fumée dans ton regard, ,ces haches de barbares,
noyé dans cet océan de bouillard,
Brûle dans ce braiser de haine, la Forteresse de notre complicité,
La façade de notre amour salie,ils peuvent s’en féliciter,
Forteresse de notre complicité,
Ou le ciment de nos convictions s’est brisé.
Forteresse de notre complicité s’est éventrée sous les catapultes,
Oui ,elle s’est écroulait sous les catapultes à insultes,

Sous les revendications du peuple de ton mépris,
Louis 16 a été enfermé dans le cachot de ton esprit,
Et a du capituler ,oui capitulation qui désormais le torture,
Car tu as ré-ouvert les plaies de notre amour
mais c'est moi qui saigne
...... pourvu que la lumiere de l'obscurité s'éteigne
car le vide EXPONENTIEL me sature,
plus de CIEL EN EXPO,plus de berceau d'étoile,
ou le radeau de mon coeur avait hisser sa voile.