Sillonnant dans la vallée de l'ombre
Dans les méandres de l'oubli
Je n'aperçois de l'obscurité et le sombre
Simple histoire d'une vie

J'avance dans le néant
Le monde du presque rien
Là où tout est océan
Les larmes d'un trop plein

Les ombres passent
Et me dévisagent
L'étranger d'un univers qui se lasse
De la mort qui s'envisage

Tous les arbres brûlent
De la colère des hommes
La rage qui hurle
La vie s’éteint et se gomme

Place à la mort
Musique funeste du passé
Qui devient le présent de mes idées
Dans cette jungle de douleurs

Coucou Vous^^

Entre "Ombre " Lumière"....

Il y a toujours...au fond, là bas , oui, tout au fond...

Sourires à toi, j'aime toujours te lire^^

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texte très poétique
Poème avec une forte âme et un fond
Merci pour le partage


Ferhat

Merci beaucoup tous les deux...

Merci Colomba, comme à ton habitude un commentaire super sympa
et merci Ferhat pour ton commentaire flatteur