L’Algérienne
Ses yeux sont une tasse de café
Où en peut lire l’avenir
Un paradis sur une île de fée
Là ou les désirs se réunir
Une Algérienne de parent natif
Une féconde Arabe de l'époque active
Je ne peux dire que présent
Dans l’odyssée de la raison
Son sourire c’est le printemps
Ses joues l’aquarelle du temps
En hiver c’est le soleil et sa chaleur
Ses câlins malins le désir des plaisirs
M’assouvir jusqu'au grand délire
Je déverse ma passion dans son meilleur
Surtout quand mon âme est en désordre
Sa Seigneurie plaisir me mis dans l’ordre
Fasciné par sa beauté de coquette
Je ne peux qu’accepter sa conquête
Moi je t’aime Algérienne de raison
Je t’aime, à longueur de saisons
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les années de disette dictent les poètes