Je lève mes yeux au ciel, et bien accroupie
Implorer ton pardon si j’ai vraiment tort
Tu sais que je ne peux relever un tel défi
Qui ressemble à un jeu avec la mort
C’est l’excès de l’amour qui m’a trahi
Celui que je porte pour toi, Ã bras le corps
Je ne me sens en vie, que dans cette passion
Sans laquelle je suis faible et vulnérable
La plus insignifiante friction
M’affole et me rend inconsolable
Au nom de toutes ces belles émotions
J’accepte que cette brouille me soit imputable
Je m’emprisonne en délivrant mes larmes
Espérant un pardon, sans même être fautive
Affrontée à une dure tristesse qui me désarme
Quand aussi, de ta présence, tu me prives
Je souffre dans mon silence, sans crier alarme
En gardant l’espoir, d’un amour qui me motive
seulette