Si je suis coupable,
C'est d'avoir succombé à la passion,
Personne ne peut juger ce que j'ai fait,
Car à cet instant j'avais la fièvre,
De celles qui jouent de vous comme d'une marionnette.
Une étreinte animale qui vous fait mal,
Mais vous enivre d'une folie primitive,
Folie insouciante qui vous fait rêver,
Et vibrer.

Mes souvenirs sont flous,
Mais ce souffle qui m' habitait...
Je me souviens d'une vague de chaleur,
D'un froissement de taffetas rouge,
D'un souffle enfiévré qui n'appartient qu'à moi,
Ma douleur,
Mon courage,
Ma force,
Et mon crime.

La vraie passion ne peut que finir dans les larmes,
C'est là qu'elle atteint son apogée,
Révèle toute sa puissance,
Sa beauté.

Un poème qui révèle toute la violence et le danger de la passion.
merci de ta participation.

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Le crime passionnel, un acte que l'on comprend et, souvent, excuse, car
il est incontrôlé, comme tu l'as bien exprimé dans ton poème...

Bienvenue à toi, Paulie, dans l'Oasis des artistes...



Capucine

bienvenue à toi qui sais si bien exprimer toutes les affres délicieuses de la passion.
HONORE

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