Quand parfois sans te voir il m'arrive ta voix,
Usant de mots cruels, comme l’acier tranchant,
Ce chant pénitentiel qui ne vise que moi,
Est une litanie que j´écoute en pleurant.
Je t´offre donc ce coeur, qui ne sait que t´aimer
Submergé, envahi d´un relent d´amertume,
Injustement noyé en oubli sur l´écume,
Errant sur le chemin de son obscurité.
Ton poème parle tant, Guido ! Ceux qui nous font souffrir sont souvent ceux qui savent se faire aimer, on leur pardonne tous les mots, tous les maux...
Que tes mots sublimes adoucissent les tiens !
Chantalou
:-D :-(
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Nous ne voyons pas les choses comme elles sont , nous les voyons comme nous sommes. Anaïs Nin
Toile: http://perso.modulonet.fr/~cavazza/index.htm