Douce nuit où mon paisible rêve grandit,
Tu m'évoques les plus grands hommes de jadis.
Dans cette merveilleuse romance sans son,
Naît ma toute dernière et vive passion.
Celle d'une femme qui d'un coeur réclame,
Celle d'un coeur froid dont l'espoir d'aimer enflamme.
Je te contemple au milieu d'un blanc opaque.
Déjà tu m'imprègnes de ta jolie marque.
D'un coup de vent, ta chevelure explose.
Je ne fixe que ta bouche d'un tendre rose.
Puis se dirigeant vers mon humble personne,
Mon coeur bat, ma tête d'amour chantonne.
Mais par malheur lorsque je te tendis la main,
Tu disparus me laissant dans un mal assassin.
Bratiska BYRON (
www.bratiska.com)