Ils se sont rencontrés sur la place, il était beau et elle si mystique, que le destin a dit oui.
Dans leurs pas d’enfants épris comment percevoir l’ombre qui fache et les poursuit.
Elle était chanteuse et le rejoignait sous le porche, ou il disait l’aimer, loin des regards .
L’amour transcende, et les barrières qui s’ouvrent comme ses bras sont l’échappatoire.

Ses cheveux sont tombés sur la place, on l’a purgé sous les cris du peuple assoiffé de sang.
Elle avait trahi son pays. Elle était la veangeance, la haine, la honte. Il était l’allemand .
Elles étaient des dizaines à défiler sous les regards véhéments, comme les sorcières de guerre,
On cracherait sur ces femmes faibles qui dans la tourmente avaient vécues un amour à taire.

Pour celles qui ont VRAIMENT aimé et qui ont souffert, c'est l'exception qui ne laisse à mon humble avis aucune excuse à la "collaboration"

Après la guerre reste la Haine ""peu importe le moyen ""vérités ou mensonges""la vengeance à un hideux visage...

le genre humain se montre tel qu'il est..

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Je découvre ce texte à un moment où je réfléchis à une suggestion qui m'a été récemment faite par un ami, et qui consiste en ceci: écrire un scénario sur une personne qui a un grand amour pour un ennemi !
Je ne suis pas doué dans l'écriture des scénarios, mais cette proposition m'a beaucoup séduit, et je crois avoir lu ici un bon "synopsis" qui m'inspire davantage !
Donc, merci Dali !