Nantis partagés vos richesses…

Pourquoi vouloir se justifier, quand personne ne le demande
Comme un besoin de compliquer le vacarme et la sarabande
Mendiants professionnalisés de sociétés dans la tourmente
Ce n’est pas la cour des miracles, la pauvreté est bien présente

On me dit qu’en ne faisant rien on serait un peu responsable
De ces malheureuses victimes, silencieuses et misérables
Nos impôts ne suffisent plus à subvenir aux indigents,
Soyons généreux et donnons, quelques pièces ou un peu d’argent

Les mêmes qui jettent opprobre sur nos attitudes ordinaires
Gavés de fric et d’ privilèges à ne plus que savoir en faire
Ne se posent pas de questions pour ceux qui n’ont plus d’avenir
Les sans-logis les sans famille, demain que vont-ils devenir ?

Nantis partager vos richesses, avec tous ces nécessiteux
Vous acquitterez vos consciences en les faisant moins miséreux
Alors les mots « plus solidaire » seront habillés de lumière
Pour que nos esprits vagabondent tranquillement dans nos chaumières

ALTOFE

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Le juste point d'équilibre

Bien dit !

Amities,

Pepsi

Bonjour Altofe, une fort belle incitation qui ne verra certainement jamais le jour.
Mon amitié.

Capricorne

Bonjour PEPSI,

Je viens te remercier de t'être arrêté sur mon texte

et de ton commentaire succinct, concis mais bien agréable.

A bientôt,

ALTOFE

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Le juste point d'équilibre

c'est là un bel hymne à la solidarité auquel nous devrions tous participer .
HONORE

La question est de savoir à partir de quand on devient nantis !

Parti de rien, sans héritage puisque orphelin trop tôt, j'ai démarré dans la vie comme tout un chacun. J'ai trimé plus que de raison avec une épouse qui m'a bien aidé, j'ai économisé alors que d'autres dépensaient à tout va, j'ai investi cet argent en pensant à ma famille et pour ma retraite et aujourd'hui on peut me considérer à l'aise mais loin d'être nanti.
Je ne suis pas dénué du sens de partage et je sais donner à qui le mérite mais il m'est difficile d'admettre que ceux qui n'ont rien fait pour prévoir leur avenir sollicitent maintenant que je leur cède une partie de ce que j'ai gagné à la sueur de mon front.

Je pense ici aux surendettés qui possèdent parfois bien plus de biens de consommation que je n'en possède moi-même, biens qu'ils n'ont que pour leurs loisirs et pas par nécessité.

Mais que cela ne nuise pas Altofe à la qualité de ton poème qui a du cœur.

Chibani

un beau texte et un coeur généreux... comme deux de nos amis, je pense comme ils disent. il y a ceux qui n'auront jamais assez et qui ne font pas attention et ceux qui se satisfont de ce qu'ils ont ! mais il y a ceux que le malheur a frappé, la maladie, l'emploi!

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Auteure de "l'empreinte du diable" autobiographie de 23 années de vie, et "les aléas les chagrins et les petits plaisirs de la vie" aux éditions edilivre.com, internet, librairies

www.edilivre.c...

une belle pensée que je partage
mes amitiés
valérie

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"Tout le monde peut maîtriser une douleur excepté celui qui l'a."
Citation de William Shakespeare

Bonjour,

Capricorne : Souvent la société évolue que par la réalisation d’utopies.

Honore : Sympa comme moi de vivre dans le rêve.

Chibani : Un politique dit qu’on est nanti quand on touche plus de 30 000 €/mois. Je partage.

virginie33 : Rien n’est tout à fait noir, rien n’est tout à fait rose.

valou2801 : Nous regardons la société vers la même ligne d’horizon. Rassurant pour moi.

Merci à tous, amitiés et à bientôt,

ALTOFE

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