Entre vous et moi il existe un sublime rêve,
De se baigner dans ce magnifique fleuve,
Une fois que la malchance marque une trêve,
Ce jour, nous prenons tous le désir de nos rêves
La solitude a fondu mon être,
Et la dogmatisation du prêtre,
Possible, que je sors de ce tunnel sombre,
Et goûter le plaisir, du meilleur de ses pénombres
Quand, que je me réveille de ce long voyage
Et dire à la belle vie, vient, et ouvre ton corsage
Pour ces nobles nuits, que je ne rentre,
Qui ont enduré à ma vieille âme, le spectre
Et l’isolement qui ennuie ;
La semence de dormir la nuit ;
Mes doléances ne sont qu’au bon Dieu
Pour que mon destin sera toujours radieux
Plein de prospérité, et noyé dans le bonheur
Et ne jamais penser, un instant au malheur,
Le calvaire me pousse à chanter le triste,
Et dire plusieurs fois, ah, au parcours de la piste,
Moi la mort m’a classé dans l’orphelinat un certain été
J’ai caché dans mes paupières la vérité
Ces lames qui m'ont rendu orphelin me poursuivent encore
Et poursuivent mes songes, et le soleil qui féconde l'espoir
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les années de disette dictent les poètes