Encore et encore !
A l’heure où le soleil disparaît à l’horizon
Souviens-toi mon amour couchés sur la plage
Nous étions fous , fous de vie , fous de tout .
Nos étreintes ensablées nous enivraient
Jusqu’à plus de temps , plus d’espace , plus rien d’autre que nous !
Nous ne voyions plus , n’entendions plus , ne sentions plus .
Nous aimions , nous jouissions , nous étions
Jusqu’à plus de vie , jusqu’à l’usure des corps .
Que cette petite mort était douce à nos cœurs !
Nous aimions jusqu’ à l’absolu , jusqu’au Tout .
Ces osmoses sont plus belles que soleil en hiver .
Quand je prends ta main ma belle , face à la mer
Je condense toutes mes ultimes forces
Et je veux encore rouler sur le sable avec toi
T’aimer jusqu’à plus de souffle , jusqu’à mourir
Dans cette douce violence qu’est l’amour des corps .
Laisse les rires mon amour , ils sont plus vieux que nous !
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Il est un temps pour chaque âge :
A vingt ans , tout semble possible. A quarante , tout est possible. A soixante tout semble possible mais pas forcément souhaitable .
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