Isabelle celle-ci est nouvelle ...
Petit Bonhomme blond
Yeux émerveillés au vent nouveau des jours aimants
Tu avances en courant comme cabri au soleil d’été .
Tu te jettes contre moi en m’embrassant petit « meunier » .
Et je fonds comme neige fraîche au soleil de l’amour .
Vieil homme fatigué , je t ‘écoute , toi mon lendemain ,
Toi mon destin , toi mon petit . Vas doucement
Et prend garde mon enfant , les loups guettent
Le soir au fond des lois . Ils sont affamés de bonheur .
J’eusse tant aimé que perdure ton innocence douce
Celle qui réchauffe les cœurs au fond d’un lit douillet .
La nature est inhumaine , la jungle est devenue loi .
Si tu le peux mon petit , avance sans frapper , debout .
Et si tu as le temps retourne toi un moment s’il te plaît
Je serai la , derrière toi , j’aurai besoin de tes yeux !
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Il est un temps pour chaque âge :
A vingt ans , tout semble possible. A quarante , tout est possible. A soixante tout semble possible mais pas forcément souhaitable .
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