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     De vous Ă  moi ( Allez Messieurs, Dames, Ă  vos plumes pour une suite....)
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Expéditeur Conversation
Laesilia
Envoyé le :  21/12/2011 18:08
Mascotte d'Oasis
Inscrit le: 25/11/2005
De: Sur les chemins de l'âme
Envois: 11453
De vous Ă  moi ( Allez Messieurs, Dames, Ă  vos plumes pour une suite....)
Mon cher, mon tendre, si bel amour
C'est le cœur bien las, qu'aujourd'hui
Je prends la plume, Ă©cumant le jour
Pour vous conter un tant soit peu ma vie

De l'aube au crépuscule, je parcours
Les grandes allées, où tout semble vouloir
Me rappeler Ă  votre souvenir, et ce jour
Où nous gagions fidélité, le coeur en espoir

Et le violon de mon cœur voudrait
Offrir ses notes enjouées, mais mon âme
Se glace de perles de pluie et l'archet
Tel le cristal se brise, attisant mes larmes






----------------
https://www.facebook.com/ghislaine.graffard

anonyme
Envoyé le :  21/12/2011 18:13
Re: De vous Ă  moi ( Allez Messieurs, Ă  vos plumes pour une suite....)
Bonsoir Gihislaine un beau chant de tendresse et d'amour!!
amitié!!!
APPARENCE
Envoyé le :  21/12/2011 19:30
Plume d'or
Inscrit le: 16/7/2011
De: RĂ©gion parisienne
Envois: 600
Re: De vous Ă  moi ( Allez Messieurs, Ă  vos plumes pour une suite....)
Bonsoir Ghis J'essaie de suivre...


Ma chère et douce amie, les larmes de votre plume
Ont fait vibrer mon cœur et caresser mon âme
Que mes yeux Ă  vous lire, osent se voiler de brume
Tant vos mots sont perlés d’amour et de flammes…




Mes amitiés Yvon


poesiade
Envoyé le :  21/12/2011 19:33
Plume de platine
Inscrit le: 17/7/2008
De: un patelin de paix et d'amour
Envois: 7338
Re: De vous Ă  moi ( Allez Messieurs, Ă  vos plumes pour une suite....)
De très beaux quatrains où se mêlent tendresse et tristesse


amitiés


poesiade


----------------
Mes Romans " LES LAMES DU SILENCE" viennent de paraître chez EDILIVRE
"LE coffret en bois d'ébène " chez Éditions MUSE
Mon recueil de poésie"Tranches de Vies " chez Edilivre

anonyme
Envoyé le :  21/12/2011 19:37
Re: De vous Ă  moi ( Allez Messieurs, Ă  vos plumes pour une suite....)
un joli chant d'amour que celui ci
mihoubi
Envoyé le :  21/12/2011 19:48
Plume de platine
Inscrit le: 24/9/2008
De: Bou saada (Algerie)
Envois: 3464
Re: De vous Ă  moi ( Allez Messieurs, Ă  vos plumes pour une suite....)
Entre moi et toi il existe un sublime rĂŞve,
De Se baigner dans ce magnifique fleuve,
Une fois que la malchance marque une trĂŞve,
ce jour,Nous prenons tous le désir de nos rêves


----------------
les années de disette dictent les poètes

Laesilia
Envoyé le :  21/12/2011 20:11
Mascotte d'Oasis
Inscrit le: 25/11/2005
De: Sur les chemins de l'âme
Envois: 11453
Re: De vous Ă  moi ( Allez Messieurs, Dames, Ă  vos plumes pour une suite....)
Mon cher, mon tendre, si bel amour
C'est le cœur bien las, qu'aujourd'hui
Je prends la plume, Ă©cumant le jour
Pour vous conter un tant soit peu ma vie

De l'aube au crépuscule, je parcours
Les grandes allées, où tout semble vouloir
Me rappeler Ă  votre souvenir, et ce jour
Où nous gagions fidélité, le cœur en espoir

Et le violon de mon cœur voudrait
Offrir ses notes enjouées, mais mon âme
Se glace de perles de pluie et l'archet
Tel le cristal se brise, attisant mes larmes
(Ghis)

Ma chère et douce amie, les larmes de votre plume
Ont fait vibrer mon cœur et caresser mon âme
Que mes yeux Ă  vous lire, osent se voiler de brume
Tant vos mots sont perlés d’amour et de flammes…
(Apparence)

Entre vous et moi il existe un sublime rĂŞve,
De se baigner dans ce magnifique fleuve,
Une fois que la malchance marque une trĂŞve,
Ce jour,nous prenons tous le désir de nos rêves
(mihoubi)



Mihoubi, j'ai changé le tu en vous pour aller dans le sens du poème, dis le moi si celà te pose problème!

Orchidée, Karine, Poésiade
merci pour vos coms...

Apparence,mihoudi
merci pour votre participation

Mesdames si le coeur vous en dit, vous pouvez bien sûr participer...le but étant de faire une suite de quatrains sur fond d'amour à l'ancienne.

Bisous Ă  tous


----------------
https://www.facebook.com/ghislaine.graffard

cyrael
Envoyé le :  21/12/2011 20:52
Mascotte d'Oasis
Inscrit le: 30/10/2005
De: ****
Envois: 83656
Re: De vous Ă  moi ( Allez Messieurs, Dames, Ă  vos plumes pour une suite....)
Et le violon de mon cœur voudrait
Offrir ses notes enjouées, mais mon âme
Se glace de perles de pluie et l'archet
Tel le cristal se brise, attisant mes larmes
(Ghis)

Ma chère et douce amie, les larmes de votre plume
Ont fait vibrer mon cœur et caresser mon âme
Que mes yeux Ă  vous lire, osent se voiler de brume
Tant vos mots sont perlés d’amour et de flammes…
(Apparence)

Entre vous et moi il existe un sublime rĂŞve,
De se baigner dans ce magnifique fleuve,
Une fois que la malchance marque une trĂŞve,
Ce jour,nous prenons tous le désir de nos rêves
(mihoubi)


je suis heureuse de voir cette belle chaine
poétique, enfiler sur le fil ..des perles
de toute beauté

si je pouvais ĂŞtre du sexe masculin, bien volontiers
ma plume
vous offrirai MADAME quelques humbles quatrains..


----------------
l'Amour rayonne quand l'Ame s'élève, citation maryjo

jp183
Envoyé le :  21/12/2011 22:16
Plume de platine
Inscrit le: 6/1/2009
De: La mer, le ciel, la terre
Envois: 9175
Re: De vous Ă  moi ( Allez Messieurs, Dames, Ă  vos plumes pour une suite....)
O ma mie contez-moi, oui contez-moi vos jours!
Moi, loin de vous, je meurs et mon coeur se fait lourd
Lorsqu'il se sent faner au jardin de l'absence,
Sachant qu'il n'y a que vous pour tuer le silence
Faisant de ses journées lugubre sénescence.

JP.

P.S.
Désolé, c'est un cinquain!


----------------
Vivre ses rĂŞves

ratatouille
Envoyé le :  21/12/2011 22:18
Plume de platine
Inscrit le: 8/3/2011
De:
Envois: 9858
Re: De vous Ă  moi ( Allez Messieurs, Dames, Ă  vos plumes pour une suite....)
j'aime quand les mots et les poètes se mêlent...


----------------

Laesilia
Envoyé le :  22/12/2011 15:31
Mascotte d'Oasis
Inscrit le: 25/11/2005
De: Sur les chemins de l'âme
Envois: 11453
Re: De vous Ă  moi ( Allez Messieurs, Dames, Ă  vos plumes pour une suite....)
Merci Cyrael

JP, merci Ă  toi, pas grave pour le cinquain, il est le bienvenu aussi

Romain, j'aime aussi..



Mon cher, mon tendre, si bel amour
C'est le cœur bien las, qu'aujourd'hui
Je prends la plume, Ă©cumant le jour
Pour vous conter un tant soit peu ma vie

De l'aube au crépuscule, je parcours
Les grandes allées, où tout semble vouloir
Me rappeler Ă  votre souvenir, et ce jour
Où nous gagions fidélité, le cœur en espoir

Et le violon de mon cœur voudrait
Offrir ses notes enjouées, mais mon âme
Se glace de perles de pluie et l'archet
Tel le cristal se brise, attisant mes larmes
(Ghis)

Ma chère et douce amie, les larmes de votre plume
Ont fait vibrer mon cœur et caresser mon âme
Que mes yeux Ă  vous lire, osent se voiler de brume
Tant vos mots sont perlés d’amour et de flammes…
(Apparence)

Entre vous et moi il existe un sublime rĂŞve,
De se baigner dans ce magnifique fleuve,
Une fois que la malchance marque une trĂŞve,
Ce jour,nous prenons tous le désir de nos rêves
(mihoubi)

O ma mie contez-moi, oui contez-moi vos jours!
Moi, loin de vous, je meurs et mon cœur se fait lourd
Lorsqu'il se sent faner au jardin de l'absence,
Sachant qu'il n'y a que vous pour tuer le silence
Faisant de ses journées lugubre sénescence.
(JP)

Que vous dire alors, que vous ne sachiez déjà!
Je pleure autant que je respire, et l'amour me noie
Tant de nuits d’insomnie à espérer vous revoir
Et cette absence qui brule mon cœur chaque soir

Obscurcit mon ciel un peu plus chaque jour
J'ai mal croyez-moi de vous savoir si loin!
Et la fureur qui s'agite en mes veines, mon amour
Époumone ma vie, me glaçant de chagrin
(Ghis)





----------------
https://www.facebook.com/ghislaine.graffard

RAMBAULT
Envoyé le :  22/12/2011 22:20
Plume d'or
Inscrit le: 14/2/2011
De: SAINT -VARENT
Envois: 806
Re: De vous Ă  moi ( Allez Messieurs, Dames, Ă  vos plumes pour une suite....)
Magnifique !
Guy


----------------
Il est un temps pour chaque âge :
A vingt ans , tout semble possible. A quarante , tout est possible. A soixante tout semble possible mais pas forcément souhaitable .


Mon Blog sur Google
http://guy.blogs.nouvelobs.com et mon profil Facebook...

APPARENCE
Envoyé le :  22/12/2011 22:31
Plume d'or
Inscrit le: 16/7/2011
De: RĂ©gion parisienne
Envois: 600
Re: De vous Ă  moi ( Allez Messieurs, Dames, Ă  vos plumes pour une suite....)
Eh bien ! on continue...


Ma douce, mon aimée j’ai grand mal pour vous
De vous savoir ainsi, tout mon sang n’est que glace
Lui qui brûlait mon corps à me mettre à genoux,
Dans l’attente brûlante, que mes bras vous enlacent…

L’impatience me tue, bien plus que ma blessure
Mon être est en douleur à connaître les vôtres
Chaque mot du billet devient une morsure.
Moi qui avais cru, que ça n’arrivait qu’aux autres…

Yvon
Laesilia
Envoyé le :  23/12/2011 14:03
Mascotte d'Oasis
Inscrit le: 25/11/2005
De: Sur les chemins de l'âme
Envois: 11453
Re: De vous Ă  moi ( Allez Messieurs, Dames, Ă  vos plumes pour une suite....)
Merci d'être passé Guy

Yvon, merci pour tes vers toujours aussi merveilleux
J'adore...


Mon cher, mon tendre, si bel amour
C'est le cœur bien las, qu'aujourd'hui
Je prends la plume, Ă©cumant le jour
Pour vous conter un tant soit peu ma vie

De l'aube au crépuscule, je parcours
Les grandes allées, où tout semble vouloir
Me rappeler Ă  votre souvenir, et ce jour
Où nous gagions fidélité, le cœur en espoir

Et le violon de mon cœur voudrait
Offrir ses notes enjouées, mais mon âme
Se glace de perles de pluie et l'archet
Tel le cristal se brise, attisant mes larmes
(Ghis)

Ma chère et douce amie, les larmes de votre plume
Ont fait vibrer mon cœur et caresser mon âme
Que mes yeux Ă  vous lire, osent se voiler de brume
Tant vos mots sont perlés d’amour et de flammes…
(Apparence)

Entre vous et moi il existe un sublime rĂŞve,
De se baigner dans ce magnifique fleuve,
Une fois que la malchance marque une trĂŞve,
Ce jour,nous prenons tous le désir de nos rêves
(mihoubi)

O ma mie contez-moi, oui contez-moi vos jours!
Moi, loin de vous, je meurs et mon cœur se fait lourd
Lorsqu'il se sent faner au jardin de l'absence,
Sachant qu'il n'y a que vous pour tuer le silence
Faisant de ses journées lugubre sénescence.
(JP)

Que vous dire alors, que vous ne sachiez déjà!
Je pleure autant que je respire, et l'amour me noie
Tant de nuits d’insomnie à espérer vous revoir
Et cette absence qui brule mon cœur chaque soir

Obscurcit mon ciel un peu plus chaque jour
J'ai mal croyez-moi de vous savoir si loin!
Et la fureur qui s'agite en mes veines, mon amour
Époumone ma vie, me glaçant de chagrin
(Ghis)

Ma douce, mon aimée j’ai grand mal pour vous
De vous savoir ainsi, tout mon sang n’est que glace
Lui qui brûlait mon corps à me mettre à genoux,
Dans l’attente brûlante, que mes bras vous enlacent…

L’impatience me tue, bien plus que ma blessure
Mon être est en douleur à connaître les vôtres
Chaque mot du billet devient une morsure.
Moi qui avais cru, que ça n’arrivait qu’aux autres…
(Apparence)


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https://www.facebook.com/ghislaine.graffard

lilo
Envoyé le :  23/12/2011 17:14
Plume de platine
Inscrit le: 10/2/2007
De:
Envois: 3852
Re: De vous Ă  moi ( Allez Messieurs, Dames, Ă  vos plumes pour une suite....)
Une période propice pour l'union des plumes. Merci.


----------------


Bonjour Ă  toi et bisous.


juliette04
Envoyé le :  23/12/2011 17:25
Plume de diamant
Inscrit le: 5/9/2010
De:
Envois: 13624
Re: De vous Ă  moi ( Allez Messieurs, Dames, Ă  vos plumes pour une suite....)
Magnifique mélange de plumes, un écrit sentimental et romantique, j'adore !
mihoubi
Envoyé le :  23/12/2011 18:12
Plume de platine
Inscrit le: 24/9/2008
De: Bou saada (Algerie)
Envois: 3464
Re: De vous Ă  moi ( Allez Messieurs, Dames, Ă  vos plumes pour une suite....)
Personne ne peut arrĂŞter, le monstre qui galope,
Viens mon ami, avant que ce monstre nous enveloppe,
Viens dans mes bras se blottir, et en moi habite
Avant que cette horloge, insaisissable débite


----------------
les années de disette dictent les poètes

jeanluc
Envoyé le :  23/12/2011 18:22
Plume de platine
Inscrit le: 12/6/2008
De: BRIVE, CORREZE
Envois: 5462
Re: De vous Ă  moi ( Allez Messieurs, Dames, Ă  vos plumes pour une suite....)



HĂ©, bien! continuons...


Ulysse, ma bien-aimée, pourquoi ce désespoir?
Ne serais-je qu'un souffre-douleur loin de mes rĂŞves?
Je scanderai ton nom dans la pâleur du soir,
Toi me laissant dans ma tour d'ivoire, sans trĂŞve!


----------------
Je crois qu'il n'y ait eu guère d'auteurs qui aient été contents de leur siècle. Vauvenargues.

Laesilia
Envoyé le :  23/12/2011 19:48
Mascotte d'Oasis
Inscrit le: 25/11/2005
De: Sur les chemins de l'âme
Envois: 11453
Re: De vous Ă  moi ( Allez Messieurs, Dames, Ă  vos plumes pour une suite....)
Merci douce Lilo
Tu as raison, c'est tout celà aussi la magie de Noël et rien n'est plus beau que de partager, ce que l'on a dans le coeur, alors vive la poésie .

Merci Juliette, contente que celĂ  t'ait plus
Le romantisme sait encore faire parler les plumes, c'est super et je suis heureuse de cette participation

Brundespoir, bien sûr que je permets, bien au contraire
tout le monde est le, (la) bienvenu.

Mihoubi, merci Ă  nouveau

Jean-Luc, merci d'ĂŞtre venu nous rejoindre et nous offrir tes jolis vers.


Bisous à tous, je suis heureuse de cette échange, joyeux Noël





Mon cher, mon tendre, si bel amour
C'est le cœur bien las, qu'aujourd'hui
Je prends la plume, Ă©cumant le jour
Pour vous conter un tant soit peu ma vie

De l'aube au crépuscule, je parcours
Les grandes allées, où tout semble vouloir
Me rappeler Ă  votre souvenir, et ce jour
Où nous gagions fidélité, le cœur en espoir

Et le violon de mon cœur voudrait
Offrir ses notes enjouées, mais mon âme
Se glace de perles de pluie et l'archet
Tel le cristal se brise, attisant mes larmes
(Ghis)

Ma chère et douce amie, les larmes de votre plume
Ont fait vibrer mon cœur et caresser mon âme
Que mes yeux Ă  vous lire, osent se voiler de brume
Tant vos mots sont perlés d’amour et de flammes…
(Apparence)

Entre vous et moi il existe un sublime rĂŞve,
De se baigner dans ce magnifique fleuve,
Une fois que la malchance marque une trĂŞve,
Ce jour,nous prenons tous le désir de nos rêves
(mihoubi)

O ma mie contez-moi, oui contez-moi vos jours!
Moi, loin de vous, je meurs et mon cœur se fait lourd
Lorsqu'il se sent faner au jardin de l'absence,
Sachant qu'il n'y a que vous pour tuer le silence
Faisant de ses journées lugubre sénescence.
(JP)

Que vous dire alors, que vous ne sachiez déjà!
Je pleure autant que je respire, et l'amour me noie
Tant de nuits d’insomnie à espérer vous revoir
Et cette absence qui brule mon cœur chaque soir

Obscurcit mon ciel un peu plus chaque jour
J'ai mal croyez-moi de vous savoir si loin!
Et la fureur qui s'agite en mes veines, mon amour
Époumone ma vie, me glaçant de chagrin
(Ghis)

Ma douce, mon aimée j’ai grand mal pour vous
De vous savoir ainsi, tout mon sang n’est que glace
Lui qui brûlait mon corps à me mettre à genoux,
Dans l’attente brûlante, que mes bras vous enlacent…

L’impatience me tue, bien plus que ma blessure
Mon être est en douleur à connaître les vôtres
Chaque mot du billet devient une morsure.
Moi qui avais cru, que ça n’arrivait qu’aux autres…
(Apparence)

Je vous offre ce brin d'espoir comme un verre Ă  boire
Plein est mon réservoir pour vous éclairer et vous séduire
Comme je pense du matin au soir Ă  vous et Ă  votre histoire
J'aimerai être une petite lumière pour mieux vous éblouir
(Brundespoir)

Personne ne peut arrĂŞter, le monstre qui galope,
Viens mon ami, avant que ce monstre nous enveloppe,
Viens dans mes bras se blottir, et en moi habite
Avant que cette horloge, insaisissable débite
(Mihoubi)

Ulysse, ma bien-aimée, pourquoi ce désespoir?
Ne serais-je qu'un souffre-douleur loin de mes rĂŞves?
Je scanderai ton nom dans la pâleur du soir,
Toi me laissant dans ma tour d'ivoire, sans trĂŞve!
(Jean-Luc)

Vos mots délicats, en retour se font belle récompense
Et du fond de mes abysses, qu'il est doux de se savoir aimé
Si mon cœur peine encore, c'est néanmoins l'espérance
Que dans mes prunelles, votre missive est venue graver.
(Ghis)


----------------
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CHANDYLANE
Envoyé le :  23/12/2011 22:31
Plume de platine
Inscrit le: 24/10/2007
De: Triangle d'Or ...PROVENCE
Envois: 6372
Re: De vous Ă  moi ( Allez Messieurs, Dames, Ă  vos plumes pour une suite....)
Puisque les dames sont admises, pas facile ici de s'immiscer ???? Alors juste pour un petit clin d'oeil !


Ah ! Si j’étais un homme, je vous dirais Madame
Que vous m’êtes si chère et je comprend le drame
De tout l’éloignement de l’être bien aimé
De l’attente, l’absence et de vos mots blessés.

Quand je vous vois penchée, les yeux si plein de larmes
Sur vos écrits mouillés, rayonnant de ce charme
Qui rend votre visage si beau, si attirant
De loin, je vous regarde…je pense à votre amant

Qui ne sait pas Madame, combien la solitude
Pour un cœur délaissé est plein d’incertitude
Que les heures se traînent sur les soirs sans gaieté
Et qui de jours en jours voit le temps s’effacer…

Chandy




Laesilia
Envoyé le :  24/12/2011 0:14
Mascotte d'Oasis
Inscrit le: 25/11/2005
De: Sur les chemins de l'âme
Envois: 11453
Re: De vous Ă  moi ( Allez Messieurs, Dames, Ă  vos plumes pour une suite....)
Coucou Chandy

et moi je l'aime ce petit clin d'oeil et tes vers se glissent merveilleusement bien avec les nĂ´tres, alors merci infiniment pour ta participation...
gros bisous








Mon cher, mon tendre, si bel amour
C'est le cœur bien las, qu'aujourd'hui
Je prends la plume, Ă©cumant le jour
Pour vous conter un tant soit peu ma vie

De l'aube au crépuscule, je parcours
Les grandes allées, où tout semble vouloir
Me rappeler Ă  votre souvenir, et ce jour
Où nous gagions fidélité, le cœur en espoir

Et le violon de mon cœur voudrait
Offrir ses notes enjouées, mais mon âme
Se glace de perles de pluie et l'archet
Tel le cristal se brise, attisant mes larmes
(Ghis)

Ma chère et douce amie, les larmes de votre plume
Ont fait vibrer mon cœur et caresser mon âme
Que mes yeux Ă  vous lire, osent se voiler de brume
Tant vos mots sont perlés d’amour et de flammes…
(Apparence)

Entre vous et moi il existe un sublime rĂŞve,
De se baigner dans ce magnifique fleuve,
Une fois que la malchance marque une trĂŞve,
Ce jour,nous prenons tous le désir de nos rêves
(mihoubi)

O ma mie contez-moi, oui contez-moi vos jours!
Moi, loin de vous, je meurs et mon cœur se fait lourd
Lorsqu'il se sent faner au jardin de l'absence,
Sachant qu'il n'y a que vous pour tuer le silence
Faisant de ses journées lugubre sénescence.
(JP)

Que vous dire alors, que vous ne sachiez déjà!
Je pleure autant que je respire, et l'amour me noie
Tant de nuits d’insomnie à espérer vous revoir
Et cette absence qui brûle mon cœur chaque soir

Obscurcit mon ciel un peu plus chaque jour
J'ai mal croyez-moi de vous savoir si loin!
Et la fureur qui s'agite en mes veines, mon amour
Époumone ma vie, me glaçant de chagrin
(Ghis)

Ma douce, mon aimée j’ai grand mal pour vous
De vous savoir ainsi, tout mon sang n’est que glace
Lui qui brûlait mon corps à me mettre à genoux,
Dans l’attente brûlante, que mes bras vous enlacent…

L’impatience me tue, bien plus que ma blessure
Mon être est en douleur à connaître les vôtres
Chaque mot du billet devient une morsure.
Moi qui avais cru, que ça n’arrivait qu’aux autres…
(Apparence)

Je vous offre ce brin d'espoir comme un verre Ă  boire
Plein est mon réservoir pour vous éclairer et vous séduire
Comme je pense du matin au soir Ă  vous et Ă  votre histoire
J'aimerai être une petite lumière pour mieux vous éblouir
(Brundespoir)

Personne ne peut arrĂŞter, le monstre qui galope,
Viens mon ami, avant que ce monstre nous enveloppe,
Viens dans mes bras se blottir, et en moi habite
Avant que cette horloge, insaisissable débite
(Mihoubi)

Ulysse, ma bien-aimée, pourquoi ce désespoir?
Ne serais-je qu'un souffre-douleur loin de mes rĂŞves?
Je scanderai ton nom dans la pâleur du soir,
Toi me laissant dans ma tour d'ivoire, sans trĂŞve!
(Jean-Luc)

Vos mots délicats, en retour se font belle récompense
Et du fond de mes abysses, qu'il est doux de se savoir aimé
Si mon cœur peine encore, c'est néanmoins l'espérance
Que dans mes prunelles, votre missive est venue graver.
(Ghis)

Ah ! Si j’étais un homme, je vous dirais Madame
Que vous m’êtes si chère et je comprend le drame
De tout l’éloignement de l’être bien aimé
De l’attente, l’absence et de vos mots blessés.

Quand je vous vois penchée, les yeux si plein de larmes
Sur vos écrits mouillés, rayonnant de ce charme
Qui rend votre visage si beau, si attirant
De loin, je vous regarde…je pense à votre amant

Qui ne sait pas Madame, combien la solitude
Pour un cœur délaissé est plein d’incertitude
Que les heures se traînent sur les soirs sans gaieté
Et qui de jours en jours voit le temps s’effacer…
(Chandy)



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https://www.facebook.com/ghislaine.graffard

REBELLE13
Envoyé le :  24/12/2011 9:46
Plume de platine
Inscrit le: 8/8/2011
De:
Envois: 2832
Re: De vous Ă  moi ( Allez Messieurs, Dames, Ă  vos plumes pour une suite....)
Alors je me permets :

Chere et douce amie tendre, ici,,vous me comblez ;
Je ne suis qu'un maillon issu de votre chaine.
Et lorsque je vous lis, mon ame vous fait reine...
Et je ferme les yeux, car je vous sens plus prés.


Riche idée de nous UNIR dans votre cher monde si plein de delicatesse et d amitié,GHIS.Merci


EMA
Envoyé le :  24/12/2011 10:59
Plume de platine
Inscrit le: 14/6/2007
De:
Envois: 2511
Re: De vous Ă  moi ( Allez Messieurs, Dames, Ă  vos plumes pour une suite....)

La blancheur aride de l'hiver, bel amour,
Ne laisse trace de vent, ni brèche dans l'eau,
Ne soulève de rideau à travers le jour
Qui déplace les lacs, et des trilles d'oiseaux.

Bruissants de soleils, et de veilles à brûler,
Et les vagues encore, et le sable qui bouge,
Et le moindre coquillage l'Ă©parpiller,
La spirale se fermer, dans une mer rouge...

Ne laissez dans l'espace voyager les airs,
Sans notes de cristal, qui de grappe et de sel,
Accrochent aux roches, de longs pendentifs verts
Glissants d'Ă©meraude Ă  l'oreille, entre deux ciels.

Joyeux Noël à Vous, à toi Ghislaine, à Tous.
Ema
Laesilia
Envoyé le :  24/12/2011 13:46
Mascotte d'Oasis
Inscrit le: 25/11/2005
De: Sur les chemins de l'âme
Envois: 11453
Re: De vous Ă  moi ( Allez Messieurs, Dames, Ă  vos plumes pour une suite....)
Momo et Ema

Merci du fond du coeur d'être venus grossir les rangs de cette belle chaîne de plumes aux fragrances douces

Gros bisous et joyeux Noël mes amis



Mon cher, mon tendre, si bel amour
C'est le cœur bien las, qu'aujourd'hui
Je prends la plume, Ă©cumant le jour
Pour vous conter un tant soit peu ma vie

De l'aube au crépuscule, je parcours
Les grandes allées, où tout semble vouloir
Me rappeler Ă  votre souvenir, et ce jour
Où nous gagions fidélité, le cœur en espoir

Et le violon de mon cœur voudrait
Offrir ses notes enjouées, mais mon âme
Se glace de perles de pluie et l'archet
Tel le cristal se brise, attisant mes larmes
(Ghis)

Ma chère et douce amie, les larmes de votre plume
Ont fait vibrer mon cœur et caresser mon âme
Que mes yeux Ă  vous lire, osent se voiler de brume
Tant vos mots sont perlés d’amour et de flammes…
(Apparence)

Entre vous et moi il existe un sublime rĂŞve,
De se baigner dans ce magnifique fleuve,
Une fois que la malchance marque une trĂŞve,
Ce jour,nous prenons tous le désir de nos rêves
(mihoubi)

O ma mie contez-moi, oui contez-moi vos jours!
Moi, loin de vous, je meurs et mon cœur se fait lourd
Lorsqu'il se sent faner au jardin de l'absence,
Sachant qu'il n'y a que vous pour tuer le silence
Faisant de ses journées lugubre sénescence.
(JP)

Que vous dire alors, que vous ne sachiez déjà!
Je pleure autant que je respire, et l'amour me noie
Tant de nuits d’insomnie à espérer vous revoir
Et cette absence qui brûle mon cœur chaque soir

Obscurcit mon ciel un peu plus chaque jour
J'ai mal croyez-moi de vous savoir si loin!
Et la fureur qui s'agite en mes veines, mon amour
Époumone ma vie, me glaçant de chagrin
(Ghis)

Ma douce, mon aimée j’ai grand mal pour vous
De vous savoir ainsi, tout mon sang n’est que glace
Lui qui brûlait mon corps à me mettre à genoux,
Dans l’attente brûlante, que mes bras vous enlacent…

L’impatience me tue, bien plus que ma blessure
Mon être est en douleur à connaître les vôtres
Chaque mot du billet devient une morsure.
Moi qui avais cru, que ça n’arrivait qu’aux autres…
(Apparence)

Je vous offre ce brin d'espoir comme un verre Ă  boire
Plein est mon réservoir pour vous éclairer et vous séduire
Comme je pense du matin au soir Ă  vous et Ă  votre histoire
J'aimerai être une petite lumière pour mieux vous éblouir
(Brundespoir)

Personne ne peut arrĂŞter, le monstre qui galope,
Viens mon ami, avant que ce monstre nous enveloppe,
Viens dans mes bras se blottir, et en moi habite
Avant que cette horloge, insaisissable débite
(Mihoubi)

Ulysse, ma bien-aimée, pourquoi ce désespoir?
Ne serais-je qu'un souffre-douleur loin de mes rĂŞves?
Je scanderai ton nom dans la pâleur du soir,
Toi me laissant dans ma tour d'ivoire, sans trĂŞve!
(Jean-Luc)

Vos mots délicats, en retour se font belle récompense
Et du fond de mes abysses, qu'il est doux de se savoir aimé
Si mon cœur peine encore, c'est néanmoins l'espérance
Que dans mes prunelles, votre missive est venue graver.
(Ghis)

Ah ! Si j’étais un homme, je vous dirais Madame
Que vous m’êtes si chère et je comprend le drame
De tout l’éloignement de l’être bien aimé
De l’attente, l’absence et de vos mots blessés.

Quand je vous vois penchée, les yeux si plein de larmes
Sur vos écrits mouillés, rayonnant de ce charme
Qui rend votre visage si beau, si attirant
De loin, je vous regarde…je pense à votre amant

Qui ne sait pas Madame, combien la solitude
Pour un cœur délaissé est plein d’incertitude
Que les heures se traînent sur les soirs sans gaieté
Et qui de jours en jours voit le temps s’effacer…
(Chandy)

Chere et douce amie tendre, ici,,vous me comblez ;
Je ne suis qu'un maillon issu de votre chaine.
Et lorsque je vous lis, mon ame vous fait reine...
Et je ferme les yeux, car je vous sens plus prés.
(Rebelle)

La blancheur aride de l'hiver, bel amour,
Ne laisse trace de vent, ni brèche dans l'eau,
Ne soulève de rideau à travers le jour
Qui déplace les lacs, et des trilles d'oiseaux.

Bruissants de soleils, et de veilles à brûler,
Et les vagues encore, et le sable qui bouge,
Et le moindre coquillage l'Ă©parpiller,
La spirale se fermer dans une mer rouge...

Ne laissez dans l'espace voyager les airs,
Sans notes de cristal, qui de grappe et de sel,
Accrochent aux roches, de longs pendentifs verts
Glissant l'Ă©meraude Ă  l'oreille, entre deux ciels.
(Ema)




----------------
https://www.facebook.com/ghislaine.graffard

lagribouille
Envoyé le :  24/12/2011 14:06
Plume de platine
Inscrit le: 27/4/2014
De: AUCH 32000 tout près de la lune.
Envois: 5219
Re: De vous Ă  moi ( Allez Messieurs, Dames, Ă  vos plumes pour une suite....)
Dans la pénombre qui m'encombre je vous lis,
La beauté de vos mots dans la nuit mon séduit,
Le coeur serré par ses notes si biens jouer,
Je me surprend a vous rêver vous sublime fée.

bon on peut pas dire que j'ai pas essayer !!! lol

belles fĂŞtes a vous princesse des mots et des sons


----------------
lagrib

"D'Amour je ne me "lace",je vais du coup tel "un va nu-pieds"

mouloudi
Envoyé le :  24/12/2011 14:51
Plume de platine
Inscrit le: 12/12/2007
De: hassi Rmel laghouat algerie
Envois: 2699
Re: De vous Ă  moi ( Allez Messieurs, Dames, Ă  vos plumes pour une suite....)
bonjour
merci pour le partage
fraternellement mouloudi
APPARENCE
Envoyé le :  24/12/2011 18:40
Plume d'or
Inscrit le: 16/7/2011
De: RĂ©gion parisienne
Envois: 600
Re: De vous Ă  moi ( Allez Messieurs, Dames, Ă  vos plumes pour une suite....)
Je continue dans ma lancée...


Vous qui savez Madame mon secret, mon tourment
Qui freinent mon envie à frémir près de vous…
Je sais la solitude, pour avoir fait serment
De servir Ă  cet ordre qui se dresse entre nous

Aucun homme, aucun Dieu ne tueront mes pensées
Et je ferme les yeux afin de mieux vous voir,
Sans qu’aucun interdit ne viennent agresser,
Votre bien doux reflet, que rêve mon miroir…


En disant un grand Ă  tous les participants pour accompagner
la très belle idée de ce très beau poème auquel nous a invité la très charmante Ghis ...
J'en profite pour te souhaiter un merveilleux Noël ainsi qu'a tous les poètes D'OASIS...

Mes amitiés Yvon


mihoubi
Envoyé le :  29/12/2011 19:51
Plume de platine
Inscrit le: 24/9/2008
De: Bou saada (Algerie)
Envois: 3464
Re: De vous Ă  moi ( Allez Messieurs, Ă  vos plumes pour une suite....)
Avec toi j’ai vécu le vrai amour
Maintenant qu’elle vient la mort
Avec toi j’ai vécu la somme de la vie
D’autres songes je n’ai plus envie


----------------
les années de disette dictent les poètes

Laesilia
Envoyé le :  30/12/2011 16:28
Mascotte d'Oasis
Inscrit le: 25/11/2005
De: Sur les chemins de l'âme
Envois: 11453
Re: De vous Ă  moi ( Allez Messieurs, Ă  vos plumes pour une suite....)

Mon cher, mon tendre, si bel amour
C'est le cœur bien las, qu'aujourd'hui
Je prends la plume, Ă©cumant le jour
Pour vous conter un tant soit peu ma vie

De l'aube au crépuscule, je parcours
Les grandes allées, où tout semble vouloir
Me rappeler Ă  votre souvenir, et ce jour
Où nous gagions fidélité, le cœur en espoir

Et le violon de mon cœur voudrait
Offrir ses notes enjouées, mais mon âme
Se glace de perles de pluie et l'archet
Tel le cristal se brise, attisant mes larmes
(Ghis)

Ma chère et douce amie, les larmes de votre plume
Ont fait vibrer mon cœur et caresser mon âme
Que mes yeux Ă  vous lire, osent se voiler de brume
Tant vos mots sont perlés d’amour et de flammes…
(Apparence)

Entre vous et moi il existe un sublime rĂŞve,
De se baigner dans ce magnifique fleuve,
Une fois que la malchance marque une trĂŞve,
Ce jour,nous prenons tous le désir de nos rêves
(mihoubi)

O ma mie contez-moi, oui contez-moi vos jours!
Moi, loin de vous, je meurs et mon cœur se fait lourd
Lorsqu'il se sent faner au jardin de l'absence,
Sachant qu'il n'y a que vous pour tuer le silence
Faisant de ses journées lugubre sénescence.
(JP)

Que vous dire alors, que vous ne sachiez déjà!
Je pleure autant que je respire, et l'amour me noie
Tant de nuits d’insomnie à espérer vous revoir
Et cette absence qui brûle mon cœur chaque soir

Obscurcit mon ciel un peu plus chaque jour
J'ai mal croyez-moi de vous savoir si loin!
Et la fureur qui s'agite en mes veines, mon amour
Époumone ma vie, me glaçant de chagrin
(Ghis)

Ma douce, mon aimée j’ai grand mal pour vous
De vous savoir ainsi, tout mon sang n’est que glace
Lui qui brûlait mon corps à me mettre à genoux,
Dans l’attente brûlante, que mes bras vous enlacent…

L’impatience me tue, bien plus que ma blessure
Mon être est en douleur à connaître les vôtres
Chaque mot du billet devient une morsure.
Moi qui avais cru, que ça n’arrivait qu’aux autres…
(Apparence)

Je vous offre ce brin d'espoir comme un verre Ă  boire
Plein est mon réservoir pour vous éclairer et vous séduire
Comme je pense du matin au soir Ă  vous et Ă  votre histoire
J'aimerai être une petite lumière pour mieux vous éblouir
(Brundespoir)

Personne ne peut arrĂŞter, le monstre qui galope,
Viens mon ami, avant que ce monstre nous enveloppe,
Viens dans mes bras se blottir, et en moi habite
Avant que cette horloge, insaisissable débite
(Mihoubi)

Ulysse, ma bien-aimée, pourquoi ce désespoir?
Ne serais-je qu'un souffre-douleur loin de mes rĂŞves?
Je scanderai ton nom dans la pâleur du soir,
Toi me laissant dans ma tour d'ivoire, sans trĂŞve!
(Jean-Luc)

Vos mots délicats, en retour se font belle récompense
Et du fond de mes abysses, qu'il est doux de se savoir aimé
Si mon cœur peine encore, c'est néanmoins l'espérance
Que dans mes prunelles, votre missive est venue graver.
(Ghis)

Ah ! Si j’étais un homme, je vous dirais Madame
Que vous m’êtes si chère et je comprend le drame
De tout l’éloignement de l’être bien aimé
De l’attente, l’absence et de vos mots blessés.

Quand je vous vois penchée, les yeux si plein de larmes
Sur vos écrits mouillés, rayonnant de ce charme
Qui rend votre visage si beau, si attirant
De loin, je vous regarde…je pense à votre amant

Qui ne sait pas Madame, combien la solitude
Pour un cœur délaissé est plein d’incertitude
Que les heures se traînent sur les soirs sans gaieté
Et qui de jours en jours voit le temps s’effacer…
(Chandy)

Chere et douce amie tendre, ici,,vous me comblez ;
Je ne suis qu'un maillon issu de votre chaine.
Et lorsque je vous lis, mon ame vous fait reine...
Et je ferme les yeux, car je vous sens plus prés.
(Rebelle)

La blancheur aride de l'hiver, bel amour,
Ne laisse trace de vent, ni brèche dans l'eau,
Ne soulève de rideau à travers le jour
Qui déplace les lacs, et des trilles d'oiseaux.

Bruissants de soleils, et de veilles à brûler,
Et les vagues encore, et le sable qui bouge,
Et le moindre coquillage l'Ă©parpiller,
La spirale se fermer dans une mer rouge...

Ne laissez l'espace voyager dans les airs,
Sans notes de cristal, qui de grappe et de sel,
Accrochent aux roches, de longs pendentifs verts
Glissant l'Ă©meraude Ă  l'oreille, entre deux ciels.
(Ema)

Dans la pénombre qui m'encombre je vous lis,
La beauté de vos mots dans la nuit mon séduit,
Le coeur serré par ses notes si biens jouer,
Je me surprend a vous rêver vous sublime fée.
(Yogolo)

Vous qui savez Madame mon secret, mon tourment
Qui freinent mon envie à frémir près de vous…
Je sais la solitude, pour avoir fait serment
De servir Ă  cet ordre qui se dresse entre nous

Aucun homme, aucun Dieu ne tueront mes pensées
Et je ferme les yeux afin de mieux vous voir,
Sans qu’aucun interdit ne viennent agresser,
Votre bien doux reflet, que rêve mon miroir…
(Apparence)

Avec toi j’ai vécu le vrai amour
Maintenant qu’elle vient la mort
Avec toi j’ai vécu la somme de la vie
D’autres songes je n’ai plus envie
(Mihoubi)

Alors Monsieur, sous les sanglots du temps
Je ferai confidence à mon cœur sans floraison
Et ni rien, ni personne au parfum de mon sang
Ne viendra envenimer notre tendre passion
(Ghis)




Un grand merci à tous les participants pour cette belle chaîne
Tous mes voeux de bonne et heureuse année

Ghis


----------------
https://www.facebook.com/ghislaine.graffard

REBELLE13
Envoyé le :  30/12/2011 21:59
Plume de platine
Inscrit le: 8/8/2011
De:
Envois: 2832
Re: De vous Ă  moi ( Allez Messieurs, Ă  vos plumes pour une suite....)
Et voila que s arrête la chaine d amitié,
Dont le départ fut ELLE,cette ghis magnanime.
Cette femme a le don de rester anonyme,
Pour nous mettre en valeur...GHIS,tu vas me manquer !

bonne et heureuse année 2012,ma jolie dame d OASIS...Je "sors",mais j emporte tes mots.


Laesilia
Envoyé le :  30/12/2011 22:22
Mascotte d'Oasis
Inscrit le: 25/11/2005
De: Sur les chemins de l'âme
Envois: 11453
Re: De vous Ă  moi ( Allez Messieurs, Ă  vos plumes pour une suite....)
cyrael
Envoyé le :  1/1/2012 0:05
Mascotte d'Oasis
Inscrit le: 30/10/2005
De: ****
Envois: 83656
Re: De vous Ă  moi ( Allez Messieurs, Dames, Ă  vos plumes pour une suite....)
HEUREUSE ANNEE


----------------
l'Amour rayonne quand l'Ame s'élève, citation maryjo

CLOTILDE25
Envoyé le :  1/1/2012 1:26
Plume de platine
Inscrit le: 21/1/2011
De: Franche-comté
Envois: 4062
Re: De vous Ă  moi ( Allez Messieurs, Ă  vos plumes pour une suite....)
Bonsoir Ghislaine

*Meilleurs voeux 2012*

Avec toute mon amitié..




----------------

jeanluc
Envoyé le :  2/1/2012 18:56
Plume de platine
Inscrit le: 12/6/2008
De: BRIVE, CORREZE
Envois: 5462
Re: De vous Ă  moi ( Allez Messieurs, Dames, Ă  vos plumes pour une suite....)





Loin de moi les chevelures de ta douce nuit.
Je ne dormirai plus sous le chant de la lune,
Ni ne jouerai du luth pour cueillir ton fruit;
Vos vers sont des lagons, et les miens ne durent!


----------------
Je crois qu'il n'y ait eu guère d'auteurs qui aient été contents de leur siècle. Vauvenargues.

fleursdumal2
Envoyé le :  7/1/2012 12:54
Plume d'or
Inscrit le: 29/10/2011
De: Québec
Envois: 934
Re: De vous Ă  moi ( Allez Messieurs, Ă  vos plumes pour une suite....)
Citation :

Ghislaine a Ă©crit :

Mon cher, mon tendre, si bel amour
C'est le cœur bien las, qu'aujourd'hui
Je prends la plume, Ă©cumant le jour
Pour vous conter un tant soit peu ma vie

De l'aube au crépuscule, je parcours
Les grandes allées, où tout semble vouloir
Me rappeler Ă  votre souvenir, et ce jour
Où nous gagions fidélité, le cœur en espoir

Et le violon de mon cœur voudrait
Offrir ses notes enjouées, mais mon âme
Se glace de perles de pluie et l'archet
Tel le cristal se brise, attisant mes larmes
(Ghis)

Ma chère et douce amie, les larmes de votre plume
Ont fait vibrer mon cœur et caresser mon âme
Que mes yeux Ă  vous lire, osent se voiler de brume
Tant vos mots sont perlés d’amour et de flammes…
(Apparence)

Entre vous et moi il existe un sublime rĂŞve,
De se baigner dans ce magnifique fleuve,
Une fois que la malchance marque une trĂŞve,
Ce jour,nous prenons tous le désir de nos rêves
(mihoubi)

O ma mie contez-moi, oui contez-moi vos jours!
Moi, loin de vous, je meurs et mon cœur se fait lourd
Lorsqu'il se sent faner au jardin de l'absence,
Sachant qu'il n'y a que vous pour tuer le silence
Faisant de ses journées lugubre sénescence.
(JP)

Que vous dire alors, que vous ne sachiez déjà!
Je pleure autant que je respire, et l'amour me noie
Tant de nuits d’insomnie à espérer vous revoir
Et cette absence qui brûle mon cœur chaque soir

Obscurcit mon ciel un peu plus chaque jour
J'ai mal croyez-moi de vous savoir si loin!
Et la fureur qui s'agite en mes veines, mon amour
Époumone ma vie, me glaçant de chagrin
(Ghis)

Ma douce, mon aimée j’ai grand mal pour vous
De vous savoir ainsi, tout mon sang n’est que glace
Lui qui brûlait mon corps à me mettre à genoux,
Dans l’attente brûlante, que mes bras vous enlacent…

L’impatience me tue, bien plus que ma blessure
Mon être est en douleur à connaître les vôtres
Chaque mot du billet devient une morsure.
Moi qui avais cru, que ça n’arrivait qu’aux autres…
(Apparence)

Je vous offre ce brin d'espoir comme un verre Ă  boire
Plein est mon réservoir pour vous éclairer et vous séduire
Comme je pense du matin au soir Ă  vous et Ă  votre histoire
J'aimerai être une petite lumière pour mieux vous éblouir
(Brundespoir)

Personne ne peut arrĂŞter, le monstre qui galope,
Viens mon ami, avant que ce monstre nous enveloppe,
Viens dans mes bras se blottir, et en moi habite
Avant que cette horloge, insaisissable débite
(Mihoubi)

Ulysse, ma bien-aimée, pourquoi ce désespoir?
Ne serais-je qu'un souffre-douleur loin de mes rĂŞves?
Je scanderai ton nom dans la pâleur du soir,
Toi me laissant dans ma tour d'ivoire, sans trĂŞve!
(Jean-Luc)

Vos mots délicats, en retour se font belle récompense
Et du fond de mes abysses, qu'il est doux de se savoir aimé
Si mon cœur peine encore, c'est néanmoins l'espérance
Que dans mes prunelles, votre missive est venue graver.
(Ghis)

Ah ! Si j’étais un homme, je vous dirais Madame
Que vous m’êtes si chère et je comprend le drame
De tout l’éloignement de l’être bien aimé
De l’attente, l’absence et de vos mots blessés.

Quand je vous vois penchée, les yeux si plein de larmes
Sur vos écrits mouillés, rayonnant de ce charme
Qui rend votre visage si beau, si attirant
De loin, je vous regarde…je pense à votre amant

Qui ne sait pas Madame, combien la solitude
Pour un cœur délaissé est plein d’incertitude
Que les heures se traînent sur les soirs sans gaieté
Et qui de jours en jours voit le temps s’effacer…
(Chandy)

Chere et douce amie tendre, ici,,vous me comblez ;
Je ne suis qu'un maillon issu de votre chaine.
Et lorsque je vous lis, mon ame vous fait reine...
Et je ferme les yeux, car je vous sens plus prés.
(Rebelle)

La blancheur aride de l'hiver, bel amour,
Ne laisse trace de vent, ni brèche dans l'eau,
Ne soulève de rideau à travers le jour
Qui déplace les lacs, et des trilles d'oiseaux.

Bruissants de soleils, et de veilles à brûler,
Et les vagues encore, et le sable qui bouge,
Et le moindre coquillage l'Ă©parpiller,
La spirale se fermer dans une mer rouge...

Ne laissez l'espace voyager dans les airs,
Sans notes de cristal, qui de grappe et de sel,
Accrochent aux roches, de longs pendentifs verts
Glissant l'Ă©meraude Ă  l'oreille, entre deux ciels.
(Ema)

Dans la pénombre qui m'encombre je vous lis,
La beauté de vos mots dans la nuit mon séduit,
Le coeur serré par ses notes si biens jouer,
Je me surprend a vous rêver vous sublime fée.
(Yogolo)

Vous qui savez Madame mon secret, mon tourment
Qui freinent mon envie à frémir près de vous…
Je sais la solitude, pour avoir fait serment
De servir Ă  cet ordre qui se dresse entre nous

Aucun homme, aucun Dieu ne tueront mes pensées
Et je ferme les yeux afin de mieux vous voir,
Sans qu’aucun interdit ne viennent agresser,
Votre bien doux reflet, que rêve mon miroir…
(Apparence)

Avec toi j’ai vécu le vrai amour
Maintenant qu’elle vient la mort
Avec toi j’ai vécu la somme de la vie
D’autres songes je n’ai plus envie
(Mihoubi)

Alors Monsieur, sous les sanglots du temps
Je ferai confidence à mon cœur sans floraison
Et ni rien, ni personne au parfum de mon sang
Ne viendra envenimer notre tendre passion
(Ghis)




Un grand merci à tous les participants pour cette belle chaîne
Tous mes voeux de bonne et heureuse année

Ghis





Laesilia
Envoyé le :  12/1/2012 15:40
Mascotte d'Oasis
Inscrit le: 25/11/2005
De: Sur les chemins de l'âme
Envois: 11453
Re: De vous Ă  moi ( Allez Messieurs, Ă  vos plumes pour une suite....)
Cyrael, Salima
une merveilleuse année pour vous deux aussi et de gros bisous

Jean-Luc
Merci pour tes jolis vers qui viennent s'ajouter aux autres
bisous l'ami

Fleursdumal
Merci de ton passage sur nos vers
bisous

Ghis




Mon cher, mon tendre, si bel amour
C'est le cœur bien las, qu'aujourd'hui
Je prends la plume, Ă©cumant le jour
Pour vous conter un tant soit peu ma vie

De l'aube au crépuscule, je parcours
Les grandes allées, où tout semble vouloir
Me rappeler Ă  votre souvenir, et ce jour
Où nous gagions fidélité, le cœur en espoir

Et le violon de mon cœur voudrait
Offrir ses notes enjouées, mais mon âme
Se glace de perles de pluie et l'archet
Tel le cristal se brise, attisant mes larmes
(Ghis)

Ma chère et douce amie, les larmes de votre plume
Ont fait vibrer mon cœur et caresser mon âme
Que mes yeux Ă  vous lire, osent se voiler de brume
Tant vos mots sont perlés d’amour et de flammes…
(Apparence)

Entre vous et moi il existe un sublime rĂŞve,
De se baigner dans ce magnifique fleuve,
Une fois que la malchance marque une trĂŞve,
Ce jour,nous prenons tous le désir de nos rêves
(mihoubi)

O ma mie contez-moi, oui contez-moi vos jours!
Moi, loin de vous, je meurs et mon cœur se fait lourd
Lorsqu'il se sent faner au jardin de l'absence,
Sachant qu'il n'y a que vous pour tuer le silence
Faisant de ses journées lugubre sénescence.
(JP)

Que vous dire alors, que vous ne sachiez déjà!
Je pleure autant que je respire, et l'amour me noie
Tant de nuits d’insomnie à espérer vous revoir
Et cette absence qui brûle mon cœur chaque soir

Obscurcit mon ciel un peu plus chaque jour
J'ai mal croyez-moi de vous savoir si loin!
Et la fureur qui s'agite en mes veines, mon amour
Époumone ma vie, me glaçant de chagrin
(Ghis)

Ma douce, mon aimée j’ai grand mal pour vous
De vous savoir ainsi, tout mon sang n’est que glace
Lui qui brûlait mon corps à me mettre à genoux,
Dans l’attente brûlante, que mes bras vous enlacent…

L’impatience me tue, bien plus que ma blessure
Mon être est en douleur à connaître les vôtres
Chaque mot du billet devient une morsure.
Moi qui avais cru, que ça n’arrivait qu’aux autres…
(Apparence)

Je vous offre ce brin d'espoir comme un verre Ă  boire
Plein est mon réservoir pour vous éclairer et vous séduire
Comme je pense du matin au soir Ă  vous et Ă  votre histoire
J'aimerai être une petite lumière pour mieux vous éblouir
(Brundespoir)

Personne ne peut arrĂŞter, le monstre qui galope,
Viens mon ami, avant que ce monstre nous enveloppe,
Viens dans mes bras se blottir, et en moi habite
Avant que cette horloge, insaisissable débite
(Mihoubi)

Ulysse, ma bien-aimée, pourquoi ce désespoir?
Ne serais-je qu'un souffre-douleur loin de mes rĂŞves?
Je scanderai ton nom dans la pâleur du soir,
Toi me laissant dans ma tour d'ivoire, sans trĂŞve!
(Jean-Luc)

Vos mots délicats, en retour se font belle récompense
Et du fond de mes abysses, qu'il est doux de se savoir aimé
Si mon cœur peine encore, c'est néanmoins l'espérance
Que dans mes prunelles, votre missive est venue graver.
(Ghis)

Ah ! Si j’étais un homme, je vous dirais Madame
Que vous m’êtes si chère et je comprend le drame
De tout l’éloignement de l’être bien aimé
De l’attente, l’absence et de vos mots blessés.

Quand je vous vois penchée, les yeux si plein de larmes
Sur vos écrits mouillés, rayonnant de ce charme
Qui rend votre visage si beau, si attirant
De loin, je vous regarde…je pense à votre amant

Qui ne sait pas Madame, combien la solitude
Pour un cœur délaissé est plein d’incertitude
Que les heures se traînent sur les soirs sans gaieté
Et qui de jours en jours voit le temps s’effacer…
(Chandy)

Chere et douce amie tendre, ici,,vous me comblez ;
Je ne suis qu'un maillon issu de votre chaine.
Et lorsque je vous lis, mon ame vous fait reine...
Et je ferme les yeux, car je vous sens plus prés.
(Rebelle)

La blancheur aride de l'hiver, bel amour,
Ne laisse trace de vent, ni brèche dans l'eau,
Ne soulève de rideau à travers le jour
Qui déplace les lacs, et des trilles d'oiseaux.

Bruissants de soleils, et de veilles à brûler,
Et les vagues encore, et le sable qui bouge,
Et le moindre coquillage l'Ă©parpiller,
La spirale se fermer dans une mer rouge...

Ne laissez l'espace voyager dans les airs,
Sans notes de cristal, qui de grappe et de sel,
Accrochent aux roches, de longs pendentifs verts
Glissant l'Ă©meraude Ă  l'oreille, entre deux ciels.
(Ema)

Dans la pénombre qui m'encombre je vous lis,
La beauté de vos mots dans la nuit mon séduit,
Le coeur serré par ses notes si biens jouer,
Je me surprend a vous rêver vous sublime fée.
(Yogolo)

Vous qui savez Madame mon secret, mon tourment
Qui freinent mon envie à frémir près de vous…
Je sais la solitude, pour avoir fait serment
De servir Ă  cet ordre qui se dresse entre nous

Aucun homme, aucun Dieu ne tueront mes pensées
Et je ferme les yeux afin de mieux vous voir,
Sans qu’aucun interdit ne viennent agresser,
Votre bien doux reflet, que rêve mon miroir…
(Apparence)

Avec toi j’ai vécu le vrai amour
Maintenant qu’elle vient la mort
Avec toi j’ai vécu la somme de la vie
D’autres songes je n’ai plus envie
(Mihoubi)

Alors Monsieur, sous les sanglots du temps
Je ferai confidence à mon cœur sans floraison
Et ni rien, ni personne au parfum de mon sang
Ne viendra envenimer notre tendre passion
(Ghislaine)

Loin de moi les chevelures de ta douce nuit.
Je ne dormirai plus sous le chant de la lune,
Ni ne jouerai du luth pour cueillir ton fruit;
Vos vers sont des lagons, et les miens ne durent!
(Jean_Luc)


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candidao
Envoyé le :  12/1/2012 16:04
Plume de platine
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De: Souk-Ahras (l'antique Tagaste)
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Re: De vous Ă  moi ( Allez Messieurs, Dames, Ă  vos plumes pour une suite....)
Superbe début, et si bien suivi par nos amis, pourrai une suite, je vais essayer ce soir, promis, car je suis lent à la détente...
mihoubi
Envoyé le :  12/1/2012 17:39
Plume de platine
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De: Bou saada (Algerie)
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Re: De vous Ă  moi ( Allez Messieurs, Dames, Ă  vos plumes pour une suite....)

Mes yeux te cherchent chaque matin, comme quelqu’un qui cherche un butin,
Comme quelqu’un qui cherche, une aurore pour son fabuleux trésor,
Toutes les perles du monde, ne valent pas ton harmonie,
Tu es l’espoir de mon âme ramollie, mon essor vers le paradis et ses sors


----------------
les années de disette dictent les poètes

candidao
Envoyé le :  13/1/2012 10:37
Plume de platine
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De: Souk-Ahras (l'antique Tagaste)
Envois: 5557
Re: De vous Ă  moi ( Allez Messieurs, Dames, Ă  vos plumes pour une suite....)
Bonjour, si je me suis désolidarisé avec les suites déjà en ligne, vous m'en excuserez; ceci à cause de l'interprétation que je fais du sens du texte où j'ai voulu voir en "les grandes allées" les allées d'un cimetière et "à votre souvenir" une formule d'épitaphe et où l'on pleure donc un cher disparu plutôt qu'un amour perdu. Qu'à cela ne tienne, cela peut rester métaphorique à condition simplement de remplacer "au grand dam de la mort bête" par "au grand dam de l'amour bête"...
D'autre par, pour faire bien, j'ai tenté des alexandrins. Bonne lecture et mes amitiés poétiques.

Ma chère, ma tendre. Mon merveilleux amour
C'est le coeur mutilé que je tente aujourd'hui
Surprenant ma plume et défiant le jour
De vous dire en secret ce que devient ma nuit:

Du soir jusqu'Ă  l'aube, je me force au parcours
De ces grandes allées où tout semble vouloir
Me rappeler Ă  vous, madame, et Ă  ces jours
OĂą la passion seule me dictait de vous voir.

Mais le grand silence de mon coeur ne sait pas
Taire la chamade du tambourin de l'âme
Qui descend célèbrer le rite de vos pas...
Feu, je ne serai point, tant que brûle la flamme!

En derviche tourneur, j'abuse de mes fièvres
Et bien mieux qu'un soleil, votre coeur d'or je pare
Pour rendre un tant soit peu le sourire à vos lèvres
Au grand dam de la mort (l'amour...) bête qui nous sépare.
Laesilia
Envoyé le :  13/1/2012 10:54
Mascotte d'Oasis
Inscrit le: 25/11/2005
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Re: De vous Ă  moi ( Allez Messieurs, Dames, Ă  vos plumes pour une suite....)


Mihoubi, merci Ă  vous


Candidao

Je vous dirais seulement Monsieur, que vos vers sont magnifiques et qu'ils se marient merveilleusement avec cette belle chaîne, alors merci infiniment pour votre participation.

Ghis



Mon cher, mon tendre, si bel amour
C'est le cœur bien las, qu'aujourd'hui
Je prends la plume, Ă©cumant le jour
Pour vous conter un tant soit peu ma vie

De l'aube au crépuscule, je parcours
Les grandes allées, où tout semble vouloir
Me rappeler Ă  votre souvenir, et ce jour
Où nous gagions fidélité, le cœur en espoir

Et le violon de mon cœur voudrait
Offrir ses notes enjouées, mais mon âme
Se glace de perles de pluie et l'archet
Tel le cristal se brise, attisant mes larmes
(Ghis)

Ma chère et douce amie, les larmes de votre plume
Ont fait vibrer mon cœur et caresser mon âme
Que mes yeux Ă  vous lire, osent se voiler de brume
Tant vos mots sont perlés d’amour et de flammes…
(Apparence)

Entre vous et moi il existe un sublime rĂŞve,
De se baigner dans ce magnifique fleuve,
Une fois que la malchance marque une trĂŞve,
Ce jour,nous prenons tous le désir de nos rêves
(mihoubi)

O ma mie contez-moi, oui contez-moi vos jours!
Moi, loin de vous, je meurs et mon cœur se fait lourd
Lorsqu'il se sent faner au jardin de l'absence,
Sachant qu'il n'y a que vous pour tuer le silence
Faisant de ses journées lugubre sénescence.
(JP)

Que vous dire alors, que vous ne sachiez déjà!
Je pleure autant que je respire, et l'amour me noie
Tant de nuits d’insomnie à espérer vous revoir
Et cette absence qui brûle mon cœur chaque soir

Obscurcit mon ciel un peu plus chaque jour
J'ai mal croyez-moi de vous savoir si loin!
Et la fureur qui s'agite en mes veines, mon amour
Époumone ma vie, me glaçant de chagrin
(Ghis)

Ma douce, mon aimée j’ai grand mal pour vous
De vous savoir ainsi, tout mon sang n’est que glace
Lui qui brûlait mon corps à me mettre à genoux,
Dans l’attente brûlante, que mes bras vous enlacent…

L’impatience me tue, bien plus que ma blessure
Mon être est en douleur à connaître les vôtres
Chaque mot du billet devient une morsure.
Moi qui avais cru, que ça n’arrivait qu’aux autres…
(Apparence)

Je vous offre ce brin d'espoir comme un verre Ă  boire
Plein est mon réservoir pour vous éclairer et vous séduire
Comme je pense du matin au soir Ă  vous et Ă  votre histoire
J'aimerai être une petite lumière pour mieux vous éblouir
(Brundespoir)

Personne ne peut arrĂŞter, le monstre qui galope,
Viens mon ami, avant que ce monstre nous enveloppe,
Viens dans mes bras se blottir, et en moi habite
Avant que cette horloge, insaisissable débite
(Mihoubi)

Ulysse, ma bien-aimée, pourquoi ce désespoir?
Ne serais-je qu'un souffre-douleur loin de mes rĂŞves?
Je scanderai ton nom dans la pâleur du soir,
Toi me laissant dans ma tour d'ivoire, sans trĂŞve!
(Jean-Luc)

Vos mots délicats, en retour se font belle récompense
Et du fond de mes abysses, qu'il est doux de se savoir aimé
Si mon cœur peine encore, c'est néanmoins l'espérance
Que dans mes prunelles, votre missive est venue graver.
(Ghis)

Ah ! Si j’étais un homme, je vous dirais Madame
Que vous m’êtes si chère et je comprend le drame
De tout l’éloignement de l’être bien aimé
De l’attente, l’absence et de vos mots blessés.

Quand je vous vois penchée, les yeux si plein de larmes
Sur vos écrits mouillés, rayonnant de ce charme
Qui rend votre visage si beau, si attirant
De loin, je vous regarde…je pense à votre amant

Qui ne sait pas Madame, combien la solitude
Pour un cœur délaissé est plein d’incertitude
Que les heures se traînent sur les soirs sans gaieté
Et qui de jours en jours voit le temps s’effacer…
(Chandy)

Chere et douce amie tendre, ici,,vous me comblez ;
Je ne suis qu'un maillon issu de votre chaine.
Et lorsque je vous lis, mon ame vous fait reine...
Et je ferme les yeux, car je vous sens plus prés.
(Rebelle)

La blancheur aride de l'hiver, bel amour,
Ne laisse trace de vent, ni brèche dans l'eau,
Ne soulève de rideau à travers le jour
Qui déplace les lacs, et des trilles d'oiseaux.

Bruissants de soleils, et de veilles à brûler,
Et les vagues encore, et le sable qui bouge,
Et le moindre coquillage l'Ă©parpiller,
La spirale se fermer dans une mer rouge...

Ne laissez l'espace voyager dans les airs,
Sans notes de cristal, qui de grappe et de sel,
Accrochent aux roches, de longs pendentifs verts
Glissant l'Ă©meraude Ă  l'oreille, entre deux ciels.
(Ema)

Dans la pénombre qui m'encombre je vous lis,
La beauté de vos mots dans la nuit mon séduit,
Le coeur serré par ses notes si biens jouer,
Je me surprend a vous rêver vous sublime fée.
(Yogolo)

Vous qui savez Madame mon secret, mon tourment
Qui freinent mon envie à frémir près de vous…
Je sais la solitude, pour avoir fait serment
De servir Ă  cet ordre qui se dresse entre nous

Aucun homme, aucun Dieu ne tueront mes pensées
Et je ferme les yeux afin de mieux vous voir,
Sans qu’aucun interdit ne viennent agresser,
Votre bien doux reflet, que rêve mon miroir…
(Apparence)

Avec toi j’ai vécu le vrai amour
Maintenant qu’elle vient la mort
Avec toi j’ai vécu la somme de la vie
D’autres songes je n’ai plus envie
(Mihoubi)

Alors Monsieur, sous les sanglots du temps
Je ferai confidence à mon cœur sans floraison
Et ni rien, ni personne au parfum de mon sang
Ne viendra envenimer notre tendre passion
(Ghislaine)

Loin de moi les chevelures de ta douce nuit.
Je ne dormirai plus sous le chant de la lune,
Ni ne jouerai du luth pour cueillir ton fruit;
Vos vers sont des lagons, et les miens ne durent!
(Jean_Luc)

Mes yeux te cherchent chaque matin, comme quelqu’un qui cherche un butin,
Comme quelqu’un qui cherche, une aurore pour son fabuleux trésor,
Toutes les perles du monde, ne valent pas ton harmonie,
Tu es l’espoir de mon âme ramollie, mon essor vers le paradis et ses sors
(Mihoubi)

Ma chère, ma tendre. Mon merveilleux amour
C'est le coeur mutilé que je tente aujourd'hui
Surprenant ma plume et défiant le jour
De vous dire en secret ce que devient ma nuit:

Du soir jusqu'Ă  l'aube, je me force au parcours
De ces grandes allées où tout semble vouloir
Me rappeler Ă  vous, madame, et Ă  ces jours
OĂą la passion seule me dictait de vous voir.

Mais le grand silence de mon coeur ne sait pas
Taire la chamade du tambourin de l'âme
Qui descend célèbrer le rite de vos pas...
Feu, je ne serai point, tant que brûle la flamme!

En derviche tourneur, j'abuse de mes fièvres
Et bien mieux qu'un soleil, votre coeur d'or je pare
Pour rendre un tant soit peu le sourire à vos lèvres
Au grand dam de l'amour bête qui nous sépare.
(Candidao)



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https://www.facebook.com/ghislaine.graffard

cookiemomo
Envoyé le :  13/1/2012 18:56
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De:
Envois: 194
Re: De vous Ă  moi ( Allez Messieurs, Dames, Ă  vos plumes pour une suite....)


----------------

L’inspiration émane de sous le pétale,
Pour que fleurisse un ténébreux nénuphar!

mihoubi
Envoyé le :  14/1/2012 19:43
Plume de platine
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Re: De vous Ă  moi ( Allez Messieurs, Dames, Ă  vos plumes pour une suite....)
Destinés où sont nous ami consacré
Qui ont juré d’être voués, et dans leur coeur ancré
Mon âme aime leur air, comme une grande symphonie
Ce rêve orné, a pris une destination inconnue


----------------
les années de disette dictent les poètes

Laesilia
Envoyé le :  17/1/2012 18:00
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Re: De vous Ă  moi ( Allez Messieurs, Dames, Ă  vos plumes pour une suite....)

Cookimomo, Mihoubi
Merci Ă  vous







Mon cher, mon tendre, si bel amour
C'est le cœur bien las, qu'aujourd'hui
Je prends la plume, Ă©cumant le jour
Pour vous conter un tant soit peu ma vie

De l'aube au crépuscule, je parcours
Les grandes allées, où tout semble vouloir
Me rappeler Ă  votre souvenir, et ce jour
Où nous gagions fidélité, le cœur en espoir

Et le violon de mon cœur voudrait
Offrir ses notes enjouées, mais mon âme
Se glace de perles de pluie et l'archet
Tel le cristal se brise, attisant mes larmes
(Ghis)

Ma chère et douce amie, les larmes de votre plume
Ont fait vibrer mon cœur et caresser mon âme
Que mes yeux Ă  vous lire, osent se voiler de brume
Tant vos mots sont perlés d’amour et de flammes…
(Apparence)

Entre vous et moi il existe un sublime rĂŞve,
De se baigner dans ce magnifique fleuve,
Une fois que la malchance marque une trĂŞve,
Ce jour,nous prenons tous le désir de nos rêves
(mihoubi)

O ma mie contez-moi, oui contez-moi vos jours!
Moi, loin de vous, je meurs et mon cœur se fait lourd
Lorsqu'il se sent faner au jardin de l'absence,
Sachant qu'il n'y a que vous pour tuer le silence
Faisant de ses journées lugubre sénescence.
(JP)

Que vous dire alors, que vous ne sachiez déjà!
Je pleure autant que je respire, et l'amour me noie
Tant de nuits d’insomnie à espérer vous revoir
Et cette absence qui brûle mon cœur chaque soir

Obscurcit mon ciel un peu plus chaque jour
J'ai mal croyez-moi de vous savoir si loin!
Et la fureur qui s'agite en mes veines, mon amour
Époumone ma vie, me glaçant de chagrin
(Ghis)

Ma douce, mon aimée j’ai grand mal pour vous
De vous savoir ainsi, tout mon sang n’est que glace
Lui qui brûlait mon corps à me mettre à genoux,
Dans l’attente brûlante, que mes bras vous enlacent…

L’impatience me tue, bien plus que ma blessure
Mon être est en douleur à connaître les vôtres
Chaque mot du billet devient une morsure.
Moi qui avais cru, que ça n’arrivait qu’aux autres…
(Apparence)

Je vous offre ce brin d'espoir comme un verre Ă  boire
Plein est mon réservoir pour vous éclairer et vous séduire
Comme je pense du matin au soir Ă  vous et Ă  votre histoire
J'aimerai être une petite lumière pour mieux vous éblouir
(Brundespoir)

Personne ne peut arrĂŞter, le monstre qui galope,
Viens mon ami, avant que ce monstre nous enveloppe,
Viens dans mes bras se blottir, et en moi habite
Avant que cette horloge, insaisissable débite
(Mihoubi)

Ulysse, ma bien-aimée, pourquoi ce désespoir?
Ne serais-je qu'un souffre-douleur loin de mes rĂŞves?
Je scanderai ton nom dans la pâleur du soir,
Toi me laissant dans ma tour d'ivoire, sans trĂŞve!
(Jean-Luc)

Vos mots délicats, en retour se font belle récompense
Et du fond de mes abysses, qu'il est doux de se savoir aimé
Si mon cœur peine encore, c'est néanmoins l'espérance
Que dans mes prunelles, votre missive est venue graver.
(Ghis)

Ah ! Si j’étais un homme, je vous dirais Madame
Que vous m’êtes si chère et je comprend le drame
De tout l’éloignement de l’être bien aimé
De l’attente, l’absence et de vos mots blessés.

Quand je vous vois penchée, les yeux si plein de larmes
Sur vos écrits mouillés, rayonnant de ce charme
Qui rend votre visage si beau, si attirant
De loin, je vous regarde…je pense à votre amant

Qui ne sait pas Madame, combien la solitude
Pour un cœur délaissé est plein d’incertitude
Que les heures se traînent sur les soirs sans gaieté
Et qui de jours en jours voit le temps s’effacer…
(Chandy)

Chere et douce amie tendre, ici,,vous me comblez ;
Je ne suis qu'un maillon issu de votre chaine.
Et lorsque je vous lis, mon ame vous fait reine...
Et je ferme les yeux, car je vous sens plus prés.
(Rebelle)

La blancheur aride de l'hiver, bel amour,
Ne laisse trace de vent, ni brèche dans l'eau,
Ne soulève de rideau à travers le jour
Qui déplace les lacs, et des trilles d'oiseaux.

Bruissants de soleils, et de veilles à brûler,
Et les vagues encore, et le sable qui bouge,
Et le moindre coquillage l'Ă©parpiller,
La spirale se fermer dans une mer rouge...

Ne laissez l'espace voyager dans les airs,
Sans notes de cristal, qui de grappe et de sel,
Accrochent aux roches, de longs pendentifs verts
Glissant l'Ă©meraude Ă  l'oreille, entre deux ciels.
(Ema)

Dans la pénombre qui m'encombre je vous lis,
La beauté de vos mots dans la nuit mon séduit,
Le coeur serré par ses notes si biens jouer,
Je me surprend a vous rêver vous sublime fée.
(Yogolo)

Vous qui savez Madame mon secret, mon tourment
Qui freinent mon envie à frémir près de vous…
Je sais la solitude, pour avoir fait serment
De servir Ă  cet ordre qui se dresse entre nous

Aucun homme, aucun Dieu ne tueront mes pensées
Et je ferme les yeux afin de mieux vous voir,
Sans qu’aucun interdit ne viennent agresser,
Votre bien doux reflet, que rêve mon miroir…
(Apparence)

Avec toi j’ai vécu le vrai amour
Maintenant qu’elle vient la mort
Avec toi j’ai vécu la somme de la vie
D’autres songes je n’ai plus envie
(Mihoubi)

Alors Monsieur, sous les sanglots du temps
Je ferai confidence à mon cœur sans floraison
Et ni rien, ni personne au parfum de mon sang
Ne viendra envenimer notre tendre passion
(Ghislaine)

Loin de moi les chevelures de ta douce nuit.
Je ne dormirai plus sous le chant de la lune,
Ni ne jouerai du luth pour cueillir ton fruit;
Vos vers sont des lagons, et les miens ne durent!
(Jean_Luc)

Mes yeux te cherchent chaque matin, comme quelqu’un qui cherche un butin,
Comme quelqu’un qui cherche, une aurore pour son fabuleux trésor,
Toutes les perles du monde, ne valent pas ton harmonie,
Tu es l’espoir de mon âme ramollie, mon essor vers le paradis et ses sors
(Mihoubi)

Ma chère, ma tendre. Mon merveilleux amour
C'est le cœur mutilé que je tente aujourd'hui
Surprenant ma plume et défiant le jour
De vous dire en secret ce que devient ma nuit:

Du soir jusqu'Ă  l'aube, je me force au parcours
De ces grandes allées où tout semble vouloir
Me rappeler Ă  vous, madame, et Ă  ces jours
OĂą la passion seule me dictait de vous voir.

Mais le grand silence de mon cœur ne sait pas
Taire la chamade du tambourin de l'âme
Qui descend célébrer le rite de vos pas...
Feu, je ne serai point, tant que brûle la flamme!

En derviche tourneur, j'abuse de mes fièvres
Et bien mieux qu'un soleil, votre cœur d'or je pare
Pour rendre un tant soit peu le sourire à vos lèvres
Au grand dam de l'amour bête qui nous sépare.
(Candidao)

Destinés où sont nous ami consacré
Qui ont juré d’être voués, et dans leur cœur ancré
Mon âme aime leur air, comme une grande symphonie
Ce rêve orné, a pris une destination inconnue
(Mihoubi)

Mon bel amour, avec vos mots, m’énamourant
Me voici en courage pour patienter votre retour
Alors que mon cœur s'en allait mourant
Je reviens Ă  la vie, sous l'enveloppe des jours.
(Ghislaine)




Merci à tous pour avoir participé


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https://www.facebook.com/ghislaine.graffard

mihoubi
Envoyé le :  19/1/2012 19:41
Plume de platine
Inscrit le: 24/9/2008
De: Bou saada (Algerie)
Envois: 3464
Re: De vous Ă  moi ( Allez Messieurs, Dames, Ă  vos plumes pour une suite....)
Quand le poète dans son langage, tire en averse
Et côtoie les foies dans le désert qui traverse
La mer se referme sur la mer
Et clignote son destin amer


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les années de disette dictent les poètes

cocan
Envoyé le :  21/2/2012 20:15
Plume de platine
Inscrit le: 3/1/2012
De: france
Envois: 4702
Re: De vous Ă  moi ( Allez Messieurs, Dames, Ă  vos plumes pour une suite....)
A mon tour j'arrive, il faut que je me glisse
près de vous mon amie, pour ravir sa place
dans vos yeux c'est exquis, je lis de la malice
mes atours et mon oeil ne vous laissent pas de glace

puisqu'il est parti loin, ne savait donc t-il pas
qu'une femme a besoin, d'un homme, non d'une image
alors moi je suis lĂ , refaisons pas Ă  pas
le chemin de l'amour, et ne soyons pas sages

ah vous me résistez, vous êtes donc fidèle
vous m'en voyez ravi, il faut que je vous dise
c'est votre cher aimant, qui pour tester sa belle
m'a ici envoyé, pour jouer ces bêtises

je retourne chez lui, finir ma mission
lui confier qu'aujourd'hui, il peut dormir tranquille
sa future épousée, résiste à la pression
c'est une grande dame, pas une fille facile !
géniale votre idée

amitiés
Chanterelle
Envoyé le :  22/2/2012 12:17
Plume de platine
Inscrit le: 19/4/2011
De:
Envois: 2213
Re: De vous Ă  moi ( Allez Messieurs, Dames, Ă  vos plumes pour une suite....)
Oh! Ma douce colombe, ce mandement de vous
A vous rejoindre enfin est cruel plus que fronde!
La prison de nos âmes est austère et bien sombre
Quand le désir de Dieu nous retient loin de nous!



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"Ni le poète, ni personne d'ailleurs, ne possède la clef ou le secret du monde, je veux être bon." Federico GARCIA LORCA

anonyme
Envoyé le :  11/4/2012 14:03
Re: De vous Ă  moi ( Allez Messieurs, Dames, Ă  vos plumes pour une suite....)
Joli écrit. Je te répondrais demain, aujourd'hui j'ai posté. IRIS
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