Elle n’aimait pas le visage ingrat
Que reflétait
Le matin
Son miroir.
Elle n’aimait pas le regard des autres,
Qui ne voyaient de son corps,
Que l’apparence !
Que savaient-ils de son âme,
De la pureté qui l’habitait ?
Quand
La beauté,
L’emporte sur le fond
Que reste-t-il pour être aimé ?
Rien
Ou
Dieu,
Ce qui revient au même !
Ce matin
Elle s’est tranchée les veines
En passant
De l’autre côté du miroir.
----------------
villerme.jeanpaul@neuf.fr
http://ecritures.blog4ever.com/
http://randopoesies.over-blog.com/
http://commissaire-theo.wifeo.com/