La nouvelle est tombée comme un couperet,
Je n'ai pas pu empĂŞcher les larmes de couler.
Un déluge de tristesse me saisit et m’envahit.
La douleur est lĂ , muette et implacable,
Le corps violenté, l’esprit vagabond,
L’odeur du feu qui brule les entrailles,
Ne laisse aucun espoir de retrouvailles.
Le ciel s’est assombri d’un noir qui étourdit.
Seule dans cette traversée du désert.
Le pas lent et le fardeau sur ses Ă©paules Ă©crasant,
Elle s’en est allée un soir d’automne,
En transperçant le voile de la vie qui a cédé.
Son âme s’est envolée ce samedi,
Rejoignant les mille et une Ă©toiles,
Qui d’un seul coup au ciel se sont illuminées.
Poème écrit en hommage posthume à une amie décédée ce samedi d'une crise cardiaque à l'âge de 43 ans.
----------------