Souviens-toi, de ces doigts qui, sur ta peau,
Parcouraient sans douceur ta joue et ton dos.
Souviens-toi de ces yeux qui, violemment,
De ton âme, se faisaient tes amants.
Souviens-toi de tout ce que tu as perdu,
Ton sourire, ta vertu.
Souviens-toi de tout ce qu’on ta volé,
Ton innocence, ta fierté.
Tourne tes yeux vers le passé,
Souviens-toi de celle que tu as été,
Car jamais plus, tu ne pourras te retrouver.
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"Il en est des paroles comme le vent qui se lève.
Mieux vaut souffler des mensonges que d'affronter la tempête."