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_ « Nous étions mille et une personnes
Avides de paix jusqu’à l’aumône,
Coincés dedans les vieilles grottes
Cernés d’une force qui porte des bottes.

Les passants fondent l’avenir sur un socle de paroles vaporeuses,
La ville vieillit et laisse l’oubli gagner du territoire précieux,
Le droit vous parle :

Peuple vainqueur et souverain
Pris dans la houle des vents marins,
Salue les hommes qui ont donné
Leurs vies pour que tu sois trôné.

Peuple garant d’un fier podium
Pris dans le piège d’un rêve d’opium,
Décompte les boules du chapelet
Au nombre des morts qui t’appelaient.

Peuple fidèle aux justes causes
Pris dans les mailles d’un filet rose,
Déterre le livre de ton histoire
Pour que l’étoile éclaire le noir.

Les passants reculent vers le néant pour s’élancer dans un ciel fantôme,
La ville tremble quand la voix des miraculés exulte des échos d’émoi,
Le poète se recueille.

Nous étions mille et un cadavres
Virés du temps d’une vie macabre,
Brûlés vivants d’un feu banal
A l’ordre bref du général. »



Abdelkader guerine

Retrouver ta GRANDE Plume est un réel plaisir .......

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C'est beau d'être seul(e).
Être seul(e)ne signifie pas être solitaire.
Cela signifie que l'esprit ne vit pas sous influence et qu'il n'est pas pollué
par la société.
[Jiddu Krishnamurti]

ta plume est de plus en plus magnifique !

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Lire, c’est rencontrer du monde, au plus profond de soi.

Hymne aux peuples qui brisent les carcans et le mur de la peur !
Quand le drapeau algérien sera levé dans les grandes places publiques ?

Mes amitiés

une très belle lecture !!

oui ! comme je te comprend. l'humain oublie ce que fut le passé! les fours, les camps, les bottes!
l'argent est au coeur de tout! il mène le monde et contre cela ?
beaucoup de grands hommes doivent remuer dans la tombe! tous ces beaux jeunes hommes qui sont mort pour la patrie! aujourd'hui on embrasse les enfants des bourreaux!

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Auteure de "l'empreinte du diable" autobiographie de 23 années de vie, et "les aléas les chagrins et les petits plaisirs de la vie" aux éditions edilivre.com, internet, librairies

www.edilivre.c...

Merci à vous, l'histoire se passe en juin 1845, l'histoire est un retournement de faits...


Le poète s’allongea à la belle étoile, mit son couffin sous sa tête en guise d’oreiller et plongea entre les bras de Morphée rêvant que l’avenir apportera l’espoir à la paix.
Il s’endormit en rêvant qu’un vent maritime soufflait du nord et mêlait ses ondes glaciales à la chaleur de celles de cette soirée là. Cela fit des éclaires au ciel, éclata le gros tonnerre et plut l’averse forte qui inonda l’oued emportant l’ennemi en bas de la vallée, ailleurs vers un enfer certain.
Brusquement il se réveilla en sursaut en entendant des coups de feu venant de la crêtes dominant l’ennemi. Les tirs déchirèrent le silence de cette aube calme annonçant les premiers signes de la guerre.

_ « J’ai fait un rêve,
J’ai vu mon bras saignant crever
Au seuil d’une trêve.
La grande grève,
L’espoir d’une marche pour éprouver
Une joie si brève.
Le jour se lève,
L’aube agonise très énervée
La nuit s’achève.
J’ai bu la sève.
Noyé mon cœur fort soulevé
Mort dans mon rêve. »

la plume au service de la liberté, merci de ce talentueux partage, cette belle lecture et espérance,

yann

Kader

Toujours un plaisir de lire ta belle plume

merci l'ami

Ghis

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https://www.facebook.com/ghislaine.graffard