polygame des mégapodes
le vent passera
des milliers de billes s'échauffent
la nuit brassera
je t'écume, en siamoise pâline
de traverses averses
de poussières en filin pour y pendre
entortiller la genèse des sans-peau

que portes-tu mon Å“il, quel est la distance
l'infime opuscule, l'entre-acte

"l'espace en horizon ouvert enfante
en trompe l’œil"
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je ne médirai plus à la vision
au sens inopportun des poissonnières chastes
l'air s'ouvre et je le bois
l'air est blanc en arctique titubant comme l'ivrogne,
somnambule et racoleur

la crevasse encore la crevasse comme visage épongé
étrange lueur que son tréfonds
combien de pieds peuvent y entrer?

et des sabres de dunes
et des morsures
pour tunnel
j'y entrerai mais sans dentelle
nu comme la lune s'échoue
la tête en cataplasme, frontalière des airs
et tu boiras à ma nuque et nous mêlerons
nos inspirations à l'atome
noir incandescent
comme sang

bolderire ......le retour qui tortures mes neurones .........il me faut lire ...lire ....et je ne suis pas sûre d'avoir compris ...je crois mais ......

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C'est beau d'être seul(e).
Être seul(e)ne signifie pas être solitaire.
Cela signifie que l'esprit ne vit pas sous influence et qu'il n'est pas pollué
par la société.
[Jiddu Krishnamurti]

Une poussée de surréalisme comme je les aime...

original..ce poème

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l'Amour rayonne quand l'Ame s'élève, citation maryjo

Jolies variations. IRIS