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Trois mille plénitudes,
Pour familière béatitude.
Ici repose,
Quelques notes de rose.
PĂ©tales Ă©vanescents,
D’un parfum d’encens.
A ses chevilles tressées,
Des peintures esquissées.
Ses seins tatoués d’ambre,
D’un silex se cambre.
Trois mille incertitudes,
Pour familière solitude.
Ici dépose,
Quelques traces de prose.
Des nattes camphrées d’or,
Sous l’étincelle d’un trésor.
La vanille orange,
Etire ses pores Ă©tranges.
Trois milles certitudes,
Pour familière habitude.
Ici ose,
Quelques lumières moroses.
Des serpents ficelés,
Mordent sa bouche ciselée.
O ma reine funeste,
L’amour plie de son leste.
Trois mille quiétudes,
Pour familière inquiétude.
Ici l’osmose,
D’eau clair se décompose.
Des astringences épicées,
Catalysent mes papilles policées.
Le vertige du silence,
M’accorde enfin l’excellence.
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Oubli, vaincre l'addiction.