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Pour que la sagesse soit, les autres mots doivent se taire.
Cela se fait peut-être au parfait dans la poésie.
Des idées viennent à l’esprit depuis les cadences du cœur.
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Je m’expose au soleil,
Le blanc des yeux de ma mère
Sourit à la lumière..
Beauté.
Une innocence inconsciente ;
Satisfaite,
Perdure la médiocrité.
Spontanéité préméditée.
Négligence !
Lumière ! ..
Éteins le noir !
Les regards brillent
Vers quelque espoir..
Dans la misère.
Ainsi chuchota le cri...
Les nuages
Sur la face de l’eau
Vers l'océan voyagent.
Entre les deux bleus..
D’autres nuages remontent le miroir
De la rivière
Qui descend.
Sur la plage..
Des enfants jouent...
Au pays des passagers
On mange, on boit,
On rit, on pleure, et..
Le sous se dissout
Dans la course des nombres
A la criée
Vers le haut.
Les chiffres roulent
Et dans la machine vivante
Ils tournent.
Les roues jonchent les rues.
La taule ronfle,
Le béton dort alors que..
Les vers de la nuit
Célèbrent le festin des rejetés du jour.
Le temps tourne les doigts en rond.
Dans un coin de chambre,
Sur un papier.. (ou sur un clavier)
Un cœur caresse les cheveux d'une raison.
Entre les deux va et vient
Le sang...
Vivant et conscient vient blanc..
Un long sourire dans les yeux, et
Des petits rejetons.
Le temps
Sur le blanc ;
Depuis les maux,
De mots..
Est généreux...
Allal Ferri
Novembre 2011
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