Unités d'androïdes
Avec langues humides
D'où fusent postillons
Perles de faux jetons,
Et lumière abusive
Des armes offensives.

Le Lucifer La Mort
Graine du mauvais sort,
Quand l'étoile nous frôle
Le Malin se fait drôle
De rêveurs nous traitant
En poursuite du vent.

Ici l'être repose.
D'époque de pluviôse
Le vent a naufragé
Dans l'océan glacé.
Ici la Grâce est nôtre
Nous devenons apôtres.

Le Plan Originel
Etait signé du Ciel.
Eclairez ma lanterne
Est-il plus grand que Verne
L'Alpha et l'Omega
Le substrat des substrats ?

Le sentier qu'on adopte
N'est trace de sarcopte,
L'Aube fin de trépas
Sur nous se lèvera,
Un grand pas est en marche
Horizon nouvelle Arche.

Le Ciel ouvre ses bras
Infinis en supra,
Le zénith en la quête
Entendra les trompettes,
Sans limite étendu
L'espoir est bienvenu.

A. DIOMAR. copr.1994

Le surréalisme de ton poème nous entraine sur des rives inconnues qui intriguent.
HONORE

Je nous voyais mal partis dans l'hypocrysie du malin, mais l'espoir est grand et nous ouvre les bras.

Il m a fallu le relire,je l avoue,mais dieu sait s il est riche d expressions.
Le malin sait tres bien ce qu il entreprend.BELLE POESIE particuliere.BRAVO !MERCI.

Un chemin d'espoir entre l'alpha et l'oméga... amitiés

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Je crois qu'il n'y ait eu guère d'auteurs qui aient été contents de leur siècle. Vauvenargues.

"L'espoir est bienvenu." C'est beau !

Dans "comprendre" il y a "prendre", mais aimer c'est souvent le partage. Merci d'avoir aimer même sans tout comprendre.

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