Les pauvres
Des milliers d’humiliés
De pauvres oubliés
Sans pouvoir et sans gloire
Avilis affaiblis
Sont ceux que l’on oublie
Aux bords de nos mémoires
Combien d’eux n’ont plus rien
Plus d’amour plus de liens
Seul le soir, le trottoir.
Si l’on ose on dépose
Un regard pas grand-chose
Un petit brin d’espoir
Il se meurt mon bonheur
Se nécrose mon cœur
Vie discriminatoire.
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C'est tellement bien dit que la poésie se répand partout entre les mots de cette belle composition.
Amitiés,bravo et merci,ALTOFE!
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Prétendre salir l'autre,ne nous nettoie point de nos saletés!!
Driss