Si tu me tends la main, je prendrai la tienne,
Suivrait ton chemin, tu seras ma reine,
dans ton doux réconfort, mes bras seront fort,
Resterait la mie du pain quotidien et sera miel
Des jours pleines de promesses, que je m'adresse
en me tendant tes mains ,la vie sera souri
envie de nos rires,Parce que je tiens à toi
et moi parce que je t'aimedans l'oublie de mon même
Chaque jour j·attend ta venu ,tomber du ciel,
Mais j'aime autant ta plume ,que ta présence, douceur ciel
peur aussi de non-présence tient,qui tourne à peur et pleur
Donne moi tes mains de chaleur, allons vers le chemin de valeur
Le paradis notre, et à gagner cette guerre sur cette terre
Mon coeur est chagrin,mon âme est en peine,
je ne comprends plus rien,tu es plus que moi-même,
la vie va-et-vient,et moi me promène entre deux incertaines,
Entre deux poèmes, Entre deux poèmes les âmes S·unissent
De deux frères se donnant les mains en toutes harmonies de
nos plume et écrit suivent notre cadence
À pas de danse de mots notre, et personnelle
II
Et les rimes de nos âmes,
en union sur des lignes,
des mots mélodrames pour des coeurs en frimes
, des amours se crament aux lueurs indignent
et d'autres se trament en deux interlignes
Sourire de coeurs en primes
entre cascades de suave mot bien placé
des amours ne peuvent pas enfermer de nuages noirs,
si les âmes sa blanche et sur la Même branche
Ne mâchons pas les mots, n'ayons pas peur de dire
, sortons nos stylos, sans oublier de rire,
la blanche au piano,
la noire au solo, nous deux en duo, la musique délivre
les violons jouent un val pour danser de nos plumes franches
et notre encre noire mais âme banche , coeur en délire quel délice
ne chevauchant pas nos mots
car notre plume écrive au clair de lune
Suivons le tempo, nos coeurs allégro, sous le renouveau d'un soleil plus chaud,
dansons jusqu'au matin, une bouteille de vin, un verre à la main,et toi pour refrain
main dans la main jusqu·au petit matin, dansons ce vals à trois temps
verre a la main que bon et danser dans tes bras au clair de lune,
Se nos plumes et corps unis en diapason d'harmonie
dansant et chantant ce qui a uni deux poètes ne peut être désunie
même au coeur de la nuit
Trois temps pour rêver,présent au passé s'est amusé
, à prédire l'avenir,dans nos mains lignées,dans nos mains unies,
se sont décidées à nous prévenir,car la vie s'écoule doucement sans faire de bruit
et nos plumes ne peuvent se séparesDans l'encrier de tes yeux, de l'encre à ne plus finir
tu vois dans mon âme à travers mes yeux .Ce que mon encrier crie, mon coeur se veut heureux
Des mots à réinventer, des écrits vont fleurir,
et nos plumes encore sous nos soupirs, rajeunir les lignes
J'ai eu beau essayer de ne plus rien écrire,je ne peux m'arrêter,
il y a tant à dire comme un souffle en délire,
Je me dois continuer,
sur le blanc papier sans jamais défaillir
et Tan a écrit comment finir ce vals à trois temps
dans les bras de tel amant des lettres
écrit de Jean. Maurice Caput et Laura Joannidis le 14/09/2011