Mon frère, ma sœur, lisez la peine avant la joie, entre les vers connus comme des ponts nouveaux où coulent les rives humaines et les cœurs las, je vous parle au nom de ceux qui portent sanglots,
Soulevez ce poème au dessus des pires larmes, au dessus des lits de malades de toutes sortes, qu’il leur souffle sans fin de croire en demain,