Là j'applaudis, moi aussi j'aime Villon et Baudelaire... Malheureusement pour toi tu n'es ni l'un ni l'autre ! Je fais partie de ceux qui t'ont laissé un com déplaisant, et la religion n'a rien à voir là -dedans. La morale bien-pensante non plus... Je ne suis pas une "coincée du cul", loin de là . Mais il y a assez de violences sexuelles dans la réalité sans avoir besoin d'en rajouter...
Quand on emploie un mot étranger (le site étant français, je ne suis pas nationaliste mais c'est comme ça), on prend la peine d'en donner la signification, tout le monde ne parle pas l'arabe...
Donc ton aman n'était pas un amant, ok. Ce qui ne change strictement rien au côté violent du poème... (je me souviens de "soumise", "sous mon emprise" "une lame"...).
Il me semble que comparer la pénétration à l'entrée d'une lame... pauvre fille, on ne doit pas inventer mieux comme remède contre l'amour pour toute une vie !
S'il ne s'agissait pas d'un dépucelage, ça ne m'aurait même pas fait bouger une oreille, chacun est libre de son corps, mais seulement après "rodage" si j'ose dire.
Et puis je viens de te donner le sujet de ton prochain poème : maintenant que tu as réglé tes comptes avec la religion, il te reste à écrire sur "les vieilles biques", "les culs serrés", "les mal-baisées" etc.
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Désolée, mon état de santé ne me permet plus de faire les mises en pages de recueils.
comme tu l'écris si bien
