Amour en feu,
Qui qu'elle soit en moi,
Sa danse, pénétrait mon moi,
Le timbre des guitares andalouses,
La livrait, à mon égard, jalouse.
Oui ces sons manipulaient, avec atours,
Mon cœur, mes yeux aux alentours.
Ils permettaient à mon corps,
D'expliquer son emprise et mon fort.
J'exprimais sans lacets et sans relâche,
Mon ardeur pour cette mauresque,
Qui, de moi n'avait que des fresques,
Contées et dites sous forme d'arabesques,
Par des êtres cauteleux et lâches.
Ce soir là , les cordes se turent,
Subitement après l'ouverture,
D'une ambiance pleine d'envergure,
Sans laisser nos instincts conclurent.
Le feu de camp doucettement s'éteignit,
La musique, délirante, se ternit,
Pour moi cela semblait à une ignominie,
Voire un semblant de camouflet et avanie,
Malgré mon amour pour elle et son ethnie.
Antoine
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Quand la "Tolérance" est de mise, l'intelligence devient
intuition ou sensation sans relativité.
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Antoine
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