Il a atteint la réalité,
Dans la nature ,il l’a trouvé,
Pourtant, il n’y avait rien d’extraordinaire
Juste avoir l’esprit ouvert.

Il ne fallut point que ce soit religieux,
Mais ne voir que le merveilleux,
Tout étant intrinsèque pour un futur
De son âme pure.

Il faut te révéler en ces états
De puissance et de grâce, le tout étant si délicat,
Car l’humilité faisant de nous son reflet
D’où vient le vent enchanté.

Visualisation de l’impossible, en quelque sorte,
Comme ce courant d’air qui claque les portes
Ne laissant que des rais qui marquent le sol
Qu’il regarde mais reste bien seul.

Alors, dans des visions suprême,
Il a aimé à se perdre
Tant l’amour est en lui,
Rageant comme ce chien maudit.

Dans les nuages il lit
L es prémisses de la vie
Qui dévoilent un soleil
Au tendre gout de miel.

Il décline tous les avatars
Qui ne sont que des pulsars
Comprimés au lus fort
Dérivant dans son cœur.

J.V

La réalité est un devoir impératif à falloir consommer, c'est souvent un recommencement de rupture que l'oubli enveloppe telle une surprise à découvrir de nouveau...

Bonjour Maugui une belle description de la pensée humaine.
Mon amitié.

Capricorne