La jeunesse, de jour en jour tu passe,
Je ne me suis pas aperçu, de ton passage,
Jusque au jour, ou tu a envoyé le message,
A mon age, du lasse, du trépasse ;
J’ai atteint l’age, de mes parents dieux,
Maintenant mes enfants, m’appellent le vieux,
Qu il était minime, ce chemin ?
Je me rappel qu’hier j’étais le gamin,
Avec une santé de fer ;
Je composé avec le diable et l’enfer,
Dans cette vallée profonde,
Dans ce immonde, vicieux, de la terre ronde,
Mes aïeux m’ont tendu la branche,
La barbe blanche a pris sa revanche,
O divin créature humain condamnée,
Mon âme na jamais courtisé les damnés.
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les années de disette dictent les poètes