Constance...quelle vie...!!!...
Où sont donc ces amis qui juraient de leur vie ?
Aujourd’hui, au soleil, je cherche leurs regards
Et les vois tous bien mis à brûler leur envie.
Je me sens, sans pareil, écarté des égards.
Il faut bien déchanter quand le vin sur le tard
A fini de servir tous ces gens assouvis.
Le temps fait déjanter parfois le bon fêtard
Toujours prêt à gravir des sentiers peu suivis.
O Race sans Cuirasse, attend donc le reflux
Attend que je t’embrasse en gardant mon influx.
Je ne sais que chérir : l’oubli ou la constance ?
Demain d’autres lutins naîtront dans mon espoir
Apportant leurs butins et jouant l’étouffoir.
On ne doit pas périr sous l’heurt de l’insouciance.