Dans les bras de la fièvre Dans les cris de l’enfance Dans la magie des rêves Dans la tendre innocence Dans l’abîme des songes Dans l’espoir d’un possible Dans la douleur qui ronge Dans le tout invisible Dans l’angoisse des nuits Dans mes sombres errances Dans mon cœur en sursis Dans mon âme en souffrance Dans le château de cartes De ma vie qui vacille Debout dans le silence J’arpente mon exil !