LE VIDE DE MES SOURIRES

Mes sourires se vident de ma bouche,
Ce rident comme une vieille souche.
La misérabilité mon ami
C’est quand on crémationne le mi.

La musique alors est malade.
Elle accompagne mon mal-être
Comme mon doute, mon peut-être
Mon espoir tombant en rade.

J’y ai cru cependant
Mon amour chantait sa joie.
Il était bien vivant
Mais je l’ai déchiré comme ma quotidienne soie.

Et depuis
A pourrit le fruit.

Maman, je ne désire plus vivre.
Je ne désire pas survivre
Dans ce monde, le suivre.

Ultime

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"sans la liberté de blâmer, il n'est point d'éloges flatteurs".

:'( :'( C'est triste ... J'ai bien bien aimé cependant

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"La misérabilité mon ami
C’est quand on crémationne le mi."

J'adore!


"Et depuis
A pourrit le fruit.

Maman, je ne désire plus vivre.
Je ne désire pas survivre
Dans ce monde, le suivre."===>et ceci est qq peu inquiétant...ultime poème ultime??? dis nous que non! :-)

rassures-toi TheKid, ce n'est pas l'ultime poème. simplement parfois quand la coupe est trop pleine, je ne peux m'empêcher de composer des textes dans lesquels je n'hésite pas à exprimer mon raz-le bol de vivre. mais depuis l'âge de 16 ans, âge où tout à basculer, même s'il m'arrive de faire des tentatives de suicide, j'ai appris à vivre avec mes frasques psychiques. et je suis vraiment désolé de savoir que cela vous inquiête. cependant, je ne suis pas sadique. ces textes n'ont pas le but de vous faire du mal. simplement ma versification est mon exutoire et si je n'avais pas cet atout, je serais mort (du moins je le crois) depuis bien longtemps et je parle sérieusement. je suis quelqu'un d'extrèmement négatif et suis désolé souvent de constater que je puisse vous attrister, mais il faut bien que ma souffrance sorte...

ultime.

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"sans la liberté de blâmer, il n'est point d'éloges flatteurs".