Quand elle est partie
Le mouchoir est resté dans la poche.
Les larmes dans les yeux
elles couleront plus tard.
Pour les essuyer
j’ai ce qu’il faut, il faut lire.
L’agiter c’était un au revoir, un adieu
un signe de désespoir.
Tandis que là c’est sans trop y croire
a demain, a jamais cela rassure.
C’était son dernier coucher de soleil
Demain, personne ne se lèvera à mon est
Le soleil fera comme a son habitude
il n’est pas là pour réchauffer les cœurs.
Maintenant je peux laisser sans paraitre
mon chagrin s’exprimer et les larmes couler
J’ai sorti le mouchoir qui essuie le noir
mais mon cœur saignait tant
qu’il a rougit l’étoffe .
Elle est bien partie
Ici, ne reste qu’une tache de sang.
Phil
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De l'ombre à la lumière sur le chemin de la poésie