Ton amour a fait de moi une grande amoureuse de la folie de mon feu je suis heureuse
Les cris de mon âme viennent me récupérer désir d'amour et mort qui se côtoient sans fin
De mon si cruelle sort qui m'accable il dévaste mon espoir entre l'amour et la haine
Cette maladie qui creuse la tombe de notre amour joyeuse elle se sens vainqueuse
Et toi qui t'éloigne et de mon corps tu fuit me laissant un gout inachevé
Aux portes du néant mon corps doucement se livre se fait lit de tes désirs
Dans la clandestinité je traine mon cœur sur une terre exempte de douleurs
Comme un sortilège tu gomme tu effaces mes traces de pas sur ton chemins
Nos cœurs se sont abîmés nos corps séparés les blessures infligées ne peut-être guérit
Sans talent je t' ai écrit des poèmes j'ai explosé ce qui coule dans mes veines
Vit ta vie sans crainte sans peur je te libre aujourd'hui malgré la lave brule mon coeur
Mais mon cœur est a bout je sais que rien et possible entre nous tous n'est que blessures
De cet incendie du désamour je garde le charbon de mes sentiment et un désert de désir
Comment être forte aujourd'hui quand me rongent ces douleurs aiguës qui me languissent
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l'amour est une fleur. Il faut prendre soin d'elle pour quelle fleurisse et donne son parfum.
